Un trimestre entier, c'est le temps qu'il m'a fallu, pour trouver la totalité des ingrédients me permettant d'assouvir mon envie de couscous.
Les divers légumes, entrant dans la composition de ce plat, ne sont pas un problème, on les trouve sur tous les marchés ou dans les grandes surfaces.
La sauce harissa, je la fais moi-même, avec de l'ail, des piments et quelques autres composants.
En revanche, les merguez et la semoule m'ont posé plus de tracas.
Fin Avril, j'avais trouvé des merguez de porc, chez " Annam Gourmet ", un supermarché spécialisé dans les produits alimentaires d'importation.

Du porc, dans des merguez, pour moi, il n'y a pas de contre - indication, mais certains extrémistes au visage velu doivent trépigner dans leurs babouches.
Après de longues recherches sur internet et quelques pistes sans issue, j'ai enfin trouvé une petite boutique, qui vend de la semoule de blé dur.

A 75 000 Động, les 500 grammes, le prix est un peu plus du double de celui habituellement pratiqué en France, mais au Việt Nam, comme dans tous les autres pays, les produits importés, sont toujours plus chers.
L'essentiel est d'avoir mis la main sur cette précieuse céréale.
Des bons légumes, des merguez, un pilon de poulet, des raisins secs pour parfumer la semoule, je sens que je vais me régaler, avec cet assortiment, relevé d'un peu d'harissa maison.

Lorsque j'habitais encore à Montreuil-Sous-Bois, dans le 9-3, bien qu'étant en France, il était beaucoup plus facile de manger un couscous, qu'un b½uf bourguignon.
Je n'aurai jamais cru que ce plât me manquerait.
Je me régale, en plus, entre les merguez de porc et les merguez de mouton... je suis totalement incapable de faire la distinction, je trouve que ça a exactement le même goût, celui des épices qui les composent.
Les divers légumes, entrant dans la composition de ce plat, ne sont pas un problème, on les trouve sur tous les marchés ou dans les grandes surfaces.
La sauce harissa, je la fais moi-même, avec de l'ail, des piments et quelques autres composants.
En revanche, les merguez et la semoule m'ont posé plus de tracas.
Fin Avril, j'avais trouvé des merguez de porc, chez " Annam Gourmet ", un supermarché spécialisé dans les produits alimentaires d'importation.

Du porc, dans des merguez, pour moi, il n'y a pas de contre - indication, mais certains extrémistes au visage velu doivent trépigner dans leurs babouches.
Après de longues recherches sur internet et quelques pistes sans issue, j'ai enfin trouvé une petite boutique, qui vend de la semoule de blé dur.

A 75 000 Động, les 500 grammes, le prix est un peu plus du double de celui habituellement pratiqué en France, mais au Việt Nam, comme dans tous les autres pays, les produits importés, sont toujours plus chers.
L'essentiel est d'avoir mis la main sur cette précieuse céréale.
Des bons légumes, des merguez, un pilon de poulet, des raisins secs pour parfumer la semoule, je sens que je vais me régaler, avec cet assortiment, relevé d'un peu d'harissa maison.

Lorsque j'habitais encore à Montreuil-Sous-Bois, dans le 9-3, bien qu'étant en France, il était beaucoup plus facile de manger un couscous, qu'un b½uf bourguignon.
Je n'aurai jamais cru que ce plât me manquerait.
Je me régale, en plus, entre les merguez de porc et les merguez de mouton... je suis totalement incapable de faire la distinction, je trouve que ça a exactement le même goût, celui des épices qui les composent.
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