Depuis la rentrée, Vân commence les cours de bonne heure et est obligée d'apporter quelque chose à manger en cours de matinée, car elle n'a pas le temps de prendre un petit-déjeuner.
Je ne mangeais jamais, non plus, le matin, quand j'allais travailler.
Heureusement, en tant que retraité, je n'ai pas ce genre de désagrément, j'a tout mon temps.
Maintenant, à Coop-Mart, le supermarché voisin, il y a un petit rayon boulangerie, qui tente de concurrencer celui de Lotte Mart.
Alors qu'au mois d'août, à Paris, il est très difficile de trouver une boulangerie ouverte, ici, on peut s'acheter une bonne baguette fraîche, à deux pas de chez soi.

En plus elle est excellente.
Ce n'est pas du pain confectionné, comme les fameux " Bánh mì ", qui d'après leur nom sont réalisés à partir de farine de blé, mais dans laquelle a été incorporée, en raison de son prix moindre, de la farine de riz.
Ce mélange n'est pas désagréable au goût, mais ce genre de pain est plutôt destiné à faire des sandwiches, plutôt qu'à être trempé dans un bol de café.
En plus, sa texture devient vite élastique et il vaut mieux le manger rapidement.
Les vietnamiens commencent à apprécier le vrai pain français et la Tour Eiffel imprimée sur le sachet, est là pour les attirer, le " luxe " à la française, étant ici, encore une référence.
En France, les bonnes baguettes ne courent plus les rues, les vraies boulangeries tendant à être remplacées par des points de vente, approvisionnés en pains qu'il suffit d'enfourner dans la boutique, quelques minutes, ce qui est suffisant pour obtenir le nom de boulangerie.
Petit à petit, les clients s'habituent à manger du pain de piètre qualité et les vrais boulangers disparaissent.
Il est vrai que ce métier et ses exigences n'attirent plus grand monde, trop d'heures de travail et pas assez de congés...
La France se tiers-mondise rapidement, mais attention, d'autres veillent au grain et le grand remplacement est déjà bien entamé.
Dans presque toutes les villes de la banlieue parisienne, les boulangeries, sont rachetées par des nord-africains.
Bientôt, ils ne proposeront à la vente, que du " Loukoum ", du " Mchewek ", ou encore du " Balah el sham " et le vrai pain traditionnel français disparaîtra, à jamais.
Une invasion commence toujours par des remplacements qui peuvent sembler anodins...
Je ne mangeais jamais, non plus, le matin, quand j'allais travailler.
Heureusement, en tant que retraité, je n'ai pas ce genre de désagrément, j'a tout mon temps.
Maintenant, à Coop-Mart, le supermarché voisin, il y a un petit rayon boulangerie, qui tente de concurrencer celui de Lotte Mart.
Alors qu'au mois d'août, à Paris, il est très difficile de trouver une boulangerie ouverte, ici, on peut s'acheter une bonne baguette fraîche, à deux pas de chez soi.

En plus elle est excellente.
Ce n'est pas du pain confectionné, comme les fameux " Bánh mì ", qui d'après leur nom sont réalisés à partir de farine de blé, mais dans laquelle a été incorporée, en raison de son prix moindre, de la farine de riz.
Ce mélange n'est pas désagréable au goût, mais ce genre de pain est plutôt destiné à faire des sandwiches, plutôt qu'à être trempé dans un bol de café.
En plus, sa texture devient vite élastique et il vaut mieux le manger rapidement.
Les vietnamiens commencent à apprécier le vrai pain français et la Tour Eiffel imprimée sur le sachet, est là pour les attirer, le " luxe " à la française, étant ici, encore une référence.
En France, les bonnes baguettes ne courent plus les rues, les vraies boulangeries tendant à être remplacées par des points de vente, approvisionnés en pains qu'il suffit d'enfourner dans la boutique, quelques minutes, ce qui est suffisant pour obtenir le nom de boulangerie.
Petit à petit, les clients s'habituent à manger du pain de piètre qualité et les vrais boulangers disparaissent.
Il est vrai que ce métier et ses exigences n'attirent plus grand monde, trop d'heures de travail et pas assez de congés...
La France se tiers-mondise rapidement, mais attention, d'autres veillent au grain et le grand remplacement est déjà bien entamé.
Dans presque toutes les villes de la banlieue parisienne, les boulangeries, sont rachetées par des nord-africains.
Bientôt, ils ne proposeront à la vente, que du " Loukoum ", du " Mchewek ", ou encore du " Balah el sham " et le vrai pain traditionnel français disparaîtra, à jamais.
Une invasion commence toujours par des remplacements qui peuvent sembler anodins...
Partage