De nombreux mots de la langue vietnamienne sont issus du français.
Lors de la colonisation de l'Indochine, de nouvelles dénominations jusqu'alors encore totalement inconnues au Việt Nam, ont fait leur apparition et leur traduction était parfois impossible car souvent l'équivalent en vietnamien n'existait pas.
L'écriture phonétique du nom français a alors été adoptée, pour des centaines de mots de la vie courante.
Les exemples sont très nombreux, comme la baguette de pain, importée dans le pays, qui se nomme ici " ba ghết ", ou encore la guitare qui se prononce et s'écrit " ghi ta ", tandis que la manivelle qui équipait autrefois les véhicules se dit " ma ni ven ".
Ces mots se prononcent approximativement de la même façon qu'en français.
Un autre terme ainsi dérivé du français est souvent utilisé en ce moment dans les journaux.
En effet, avec la construction de nombreux immeubles d'habitations de grande hauteur, les jeunes enfants sont fréquemment victimes d'accidents domestiques et un grand nombre d'entre-eux, en particulier les plus petits, tombent des " ban công " ( balcons ), ou par les fenêtres.

Lors de la colonisation de l'Indochine, de nouvelles dénominations jusqu'alors encore totalement inconnues au Việt Nam, ont fait leur apparition et leur traduction était parfois impossible car souvent l'équivalent en vietnamien n'existait pas.
L'écriture phonétique du nom français a alors été adoptée, pour des centaines de mots de la vie courante.
Les exemples sont très nombreux, comme la baguette de pain, importée dans le pays, qui se nomme ici " ba ghết ", ou encore la guitare qui se prononce et s'écrit " ghi ta ", tandis que la manivelle qui équipait autrefois les véhicules se dit " ma ni ven ".
Ces mots se prononcent approximativement de la même façon qu'en français.
Un autre terme ainsi dérivé du français est souvent utilisé en ce moment dans les journaux.
En effet, avec la construction de nombreux immeubles d'habitations de grande hauteur, les jeunes enfants sont fréquemment victimes d'accidents domestiques et un grand nombre d'entre-eux, en particulier les plus petits, tombent des " ban công " ( balcons ), ou par les fenêtres.

L'attrait du vide.
Cela est d'autant plus important, que les normes de sécurité ne sont pas les mêmes, au Việt Nam, qu'en France.
Chez nous, bien que le bâtiment soit en totale conformité avec la législation vietnamienne, l'espace entre le sol et le bas de la fenêtre n'est que de 70 centimètres, alors qu'en France, cette hauteur minimum doit être de 1 mètre.

Hauteur de la base de la fenêtre par rapport au plancher.
Toutes nos fenêtres sont équipées de grilles solidement fixées, évitant de basculer vers l'extérieur.
C'est d'ailleurs le conseil que donne cette circulaire postée sur tous les réseaux sociaux et sur les sites des gestionnaires d'immeubles, dont le nôtre " My House ".

Conseils de sécurité.
Ce dispositif de prévention a toutefois un inconvénient, il est en effet impossible de nettoyer les vitres du côté extérieur.
C'est pourquoi, en plus de rafraîchir l'atmosphère, la saison des pluies est toujours la bienvenue, pour arroser copieusement les fenêtres.
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