La culture sous serres est en voie de réglementation, à Đà Lạt.
La ville, qui produit de grandes quantités de fraises et de fleurs est également très impactée par le réchauffement climatique.
Les températures y sont désormais plus élevées, ce qui permet d'envisager la culture à l'extérieur.
La production sous serre utilisait beaucoup de produits chimiques, qui sont maintenant interdits et l'aspect esthétique est également pris en compte par les autorités qui déplorent un enlaidissement de la région.
En effet, on compte plus de 10.000 hectares de serres, autour de la ville de Đà Lạt, ce qui nuit à son charme et à son attrait touristique.

La ville, qui produit de grandes quantités de fraises et de fleurs est également très impactée par le réchauffement climatique.
Les températures y sont désormais plus élevées, ce qui permet d'envisager la culture à l'extérieur.
La production sous serre utilisait beaucoup de produits chimiques, qui sont maintenant interdits et l'aspect esthétique est également pris en compte par les autorités qui déplorent un enlaidissement de la région.
En effet, on compte plus de 10.000 hectares de serres, autour de la ville de Đà Lạt, ce qui nuit à son charme et à son attrait touristique.

Des serres tr'Hồ nombreuses.
Les habitants en ont assez de vivre dans un environnement fait de bulles de plastique, étalées à perte de vue.

À mot'Hồ dans un véritable labyrinthe de plastique.
En 2009, nous avions emprunté le petit train qui part de Đà Lạt, en direction du proche village de Trại Mát.

Le tac'Hồ ferroviaire.
Ce trajet d'une longueur de 6 kilomètres permet d'aller visiter la jolie pagode Linh Phước ( Chùa Linh Phước ).
Ce temple a la particularité d'être entièrement décoré de mosaïques réalisées à partir de morceaux de poteries ou d'assiettes.
Dans les jardins, trône même un dragon presque intégralement réalisé en bouteilles de bière.

On ne jette pas les morç'Hồ.
À l'époque, l'unique voie ferrée serpentait déjà à travers les serres recouvertes de plastique, qui nous semblaient innombrables, alors qu'il n'y en avait qu'environ un tiers de ce que l'on compte de nos jours.
Les collines, à perte de vue, étaient déjà plastifiées et le ballet incessant des camions transportant les légumes, fruits et fleurs, nous avait fortement impressionnés.

Le plastique, c'est peu être fantastique, mais ça n'est pas b'Hồ.
Alors si la disparition de ces bâches hideuses peut rendre sa beauté à cette magnifique région, c'est une bonne chose... à condition que cela ne pénalise pas trop les producteurs.
Au Việt Nam, on tolère et " autorise " tout et soudain, le couperet tombe et une loi vient tout bouleverser.
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