Chaque année, au début du mois d'octobre, la saison des défilés de mode à Paris, appelée en bon français " Fashion Week ", me procure de bons moments de rigolade.
Les délires des couturiers dépassent toujours... et de loin, les divagations de mon imagination.
Je comprends maintenant pourquoi les modèles qui marchent comme des robots, sur les estrades, font toujours une tête d'enterrement.
Si on me forçait à porter ces tenues ridicules, je n'aurais certainement pas non plus le c½ur à rire, ni même à sourire.

Les délires des couturiers dépassent toujours... et de loin, les divagations de mon imagination.
Je comprends maintenant pourquoi les modèles qui marchent comme des robots, sur les estrades, font toujours une tête d'enterrement.
Si on me forçait à porter ces tenues ridicules, je n'aurais certainement pas non plus le c½ur à rire, ni même à sourire.

Quel bel Hồmme... enfin, je crois !.. - Photo Caroline Blumberg.
Quand on s'habille, il faut porter le vêtement qui est DANS la housse, pas le plastique.
Les personnes souffrant d'amnésie apprécieront cet autre modèle, qui leur permettra d'afficher leur adresse, de façon très élégante et décontractée.

Hồ fond du couloir - Photo Caroline Blumberg.
On se demande parfois ce qui se cache derrière les portes cochères... là, je sais.
Les stylistes vietnamiens ne sont pas non plus en déficit d'originalité.
La jeune chanteuse Bảo Anh a présenté ce modèle très bien " ficelé " du créateur Lý Quí Khánh.

S'enfile par le Hồ.
Cette tenue ressemble à s'y méprendre, aux Giò lụa ( ou Chả lụa ), ces gros rouleaux constitués de mortadelle vietnamienne emballée dans des feuilles de bananier et généralement offerts, lors des festivités du Tết.

Défilé de m'Hồ-rtadelle.
L'attrait des vietnamiens pour la nourriture se fait ressentir jusque dans la création des vêtements.
Je dois quand même dire que c'est assez appétissant.
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