Avec la mise en confinement instaurée dans de nombreux pays, la nature reprend ses droits légitimes.
Les rues désertées par les humains ont laissé le champ libre aux animaux.
À Paris, les canards ont quitté leurs quartiers, dans les bassins du jardin des tuileries, pour aller faire du lèche vitrines, dans la rue Saint-Honoré.

Les rues désertées par les humains ont laissé le champ libre aux animaux.
À Paris, les canards ont quitté leurs quartiers, dans les bassins du jardin des tuileries, pour aller faire du lèche vitrines, dans la rue Saint-Honoré.

Sortie shopping dans la rue Saint Hồ-noré.
En Italie, les sangliers se promènent au c½ur de certaines villes...

Seuls Hồ monde.
...et les eaux de Venise, débarrassées des bateaux de touristes, ont retrouvé leur clarté, ce qui attire les poissons et les cygnes.

Hồ claire de lagune.
Même les cerfs japonais n'en reviennent pas et déambulent tranquillement sur les trottoirs.

Des trottoirs aband'Hồ-nnés par les humains.
Cette pandémie a quand même des effets positifs, la nature arrive toujours à reprendre ses droits, comme dans les environs de la centrale de Tchernobyl, qui a explosé en avril 1986.
Dans la zone d'exclusion instaurée, plus aucun humain ne vit et des chercheurs y ont observé de nombreux ours bruns et des bisons d'Europe, ainsi qu'un grand nombre de loups et de chevaux de Przewalski.
Quand les hommes auront réussi à causer leur disparition de la surface de la planète, les plantes recouvriront tout, très rapidement.

Le retour Hồ choses essentielles.
L'être humain est très créatif et il n'y aura pas besoin de la chute d'une météorite géante, pour l'anéantir.
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