La fin du confinement a relancé la vie vietnamienne et les gens ont repris leurs vieilles habitudes, que celles-ci soient bonnes ou mauvaises.
Le Covid-19 n'est pas le seul moyen de mourir, il en existe des millions d'autres.
À l'occasion d'une petite virée à Đức Hòa, en lointaine banlieue de Hồ Chí Minh ville, je me suis amusé à contempler les risques que prennent les conducteurs et les riverains des grandes artères ou des petites routes de campagne.
C'est assez impressionnant.
Certains véhicules, dont le chargement dépasse de tous les côtés, slaloment allègrement entre les camions et les voitures.

Le Covid-19 n'est pas le seul moyen de mourir, il en existe des millions d'autres.
À l'occasion d'une petite virée à Đức Hòa, en lointaine banlieue de Hồ Chí Minh ville, je me suis amusé à contempler les risques que prennent les conducteurs et les riverains des grandes artères ou des petites routes de campagne.
C'est assez impressionnant.
Certains véhicules, dont le chargement dépasse de tous les côtés, slaloment allègrement entre les camions et les voitures.

Ça dépasse de tous les c'Hồ-tés.
Je ne sais pas si c'est très judicieux ou prudent de transporter une moto de secours sur celle que l'on conduit, ou encore, de fumer une cigarette, à l'ombre sous l'arrière d'un camion en stationnement.

Ce n'est pas bon pour la santé, de fumer Hồ soleil.
D'autres, en revanche, portent un casque pour acheter des légumes juste au bord de la route.

Faire ses courses Hồ bord de la route.
Étant donné la proximité de la chaussée, dans son dos, je doute fortement que cet équipement de sécurité ne serve à quelque chose, si un porte-container venait percuter cette brave femme.
La notion d'accident est une chose qui n'effleure jamais l'esprit des vietnamiens.
Pour eux, tout va bien " Không vấn đề gì ", comme dit toujours Linh, " Pas de problème ", oui, jusqu'à ce que...
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