L'éloignement de Kê Gà, par rapport aux circuits touristiques empruntés par les tour-operators, fait que le calme y règne.
La route longeant la plage est très tranquille.

La route longeant la plage est très tranquille.

Pas tr'Hồ de monde.
Ici, les seuls touristes sont des locaux qui y viennent passer le week-end en famille et y faire la fête.
En ce moment, les commerçants sont moroses, surtout à cause des conséquences dues au virus Covid-19, mais le nombre d'hôtels à l'abandon atteste de la difficulté de longue date à attirer la clientèle, dans cet endroit isolé, à mi-chemin entre Phan Thiết, à une cinquantaine de kilomètres au nord et Vũng Tàu, à la même distance, mais au sud.

Un Hồ-tel abandonné.
Ces deux villes ont investi énormément d'argent dans l'accueil des touristes, chose qu'une petite localité comme Kê Gà ne peut pas se permettre de faire.
Des complexes hoteliers tombent en ruine.

Personne ne vient plus Hồ " Blue World Resort ".
Les commerces locaux font également les frais de l'absence de visiteurs et au bord des routes, les magasins abandonnés sont très nombreux.

Fermé f'Hồ-te de clients.
Ici, la majorité des habitants vit de la pêche, ou de l'élevage de crevettes, dans de vastes retenues d'eau de mer brassées par des rangées de roues à aubes qui servent à agiter la surface de l'eau des bassins pour créer des bulles qui les alimentent en oxygène.

De l'air Hồ crevettes.
D'autres sont producteurs de sel.

Réc'Hồ-lte de sel marin.
On se sent bien, à Kê Gà, loin de l'agitation habituelle des villes de bord de mer trop axée sur le tourisme.
Pourvu que cet endroit ne soit pas victime de la frénésie immobilière.
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