En temps de guerre, les services de renseignements ont désormais la tâche grandement facilitée, par tous les moyens de communication actuels.
À chaque événement, petit ou grand, tout le monde dégaine son Smartphone pour immortaliser le moment et en diffuser les images en temps réel, sur Twitter, Facebook et autres réseaux.
Les chaînes de télévisions ne sont pas en reste et la course au " scoop " incite les reporters à se rendre sur le front et à y réaliser des reportages, qui peuvent avoir des conséquences.
Le reporter de guerre russe Aleksandr Kots, décrit comme l'un des artisans les plus précieux de la propagande de Poutine, est un homme toujours à la recherche d'un sujet qui pourrait exalter et glorifier la Mère Russie.
Les assaillants de l'Ukraine sont très fiers de leur armement, plus spécialement de l'un de leurs monstres les plus impressionnants, à savoir un mortier mobile géant, d'un calibre de 240 mm, le plus gros au monde et sans équivalent à l'ouest, appelé 2S4 Tyulpan ( en russe " Тюльпан ", ce qui signifie " Tulipe " ).

À chaque événement, petit ou grand, tout le monde dégaine son Smartphone pour immortaliser le moment et en diffuser les images en temps réel, sur Twitter, Facebook et autres réseaux.
Les chaînes de télévisions ne sont pas en reste et la course au " scoop " incite les reporters à se rendre sur le front et à y réaliser des reportages, qui peuvent avoir des conséquences.
Le reporter de guerre russe Aleksandr Kots, décrit comme l'un des artisans les plus précieux de la propagande de Poutine, est un homme toujours à la recherche d'un sujet qui pourrait exalter et glorifier la Mère Russie.
Les assaillants de l'Ukraine sont très fiers de leur armement, plus spécialement de l'un de leurs monstres les plus impressionnants, à savoir un mortier mobile géant, d'un calibre de 240 mm, le plus gros au monde et sans équivalent à l'ouest, appelé 2S4 Tyulpan ( en russe " Тюльпан ", ce qui signifie " Tulipe " ).

Vlad il a un gr'Hồ kiki... sur chenilles.
D'une portée d'environ 20 kilomètres, il peut lancer sur ses cibles, différents types d'obus, pesant parfois plus de 130 kilogrammes, guidés par laser.

Il vaut mieux être ici qu'à l'Hồ-tre bout... quoique ?..
C'est cette redoutable arme, qui le 22 mai, a détruit le Pont de Pavlograd, sur la principale ligne d'approvisionnement de Severodonetsk à travers la rivière Donetsk.

L'Hồ-calisation du Pont de Pavlograd - Copie d'écran Google Maps.
Sa perte pourrait rendre impossible le réapprovisionnement de la ville.

Un pont tombé dans l'Hồ.
Fier comme Artaban, Aleksandr Kots, cet idiot de journaleux a décidé de faire un reportage sur site, au pied de ce mortier et pour que sa " gloire " soit maximale, son intervention se faisait en direct, depuis le champ de bataille.

Un b'Hồ spécimen de blaireau.
Il va de soi que les soldats ukrainiens ont ainsi eu connaissance et qui plus est, en temps réel, de l'emplacement exact de cette pièce d'artillerie et il a suffi de quelques petites minutes, pour qu'un drone ukrainien lui règle son compte.

À g'Hồ-che, avant le reportage télévisé, à droite... après.
Il va cracher beaucoup moins loin.
Ce " Stronzo " de reporter va très certainement recevoir les chaleureuses félicitations de Poutine et devrait se préparer à partir réaliser des documentaires animaliers sur les populations d'ursidés qui peuplent les froides forêts sibériennes.
Ce n'est pourtant pas la première fois que la télévision russe facilite ainsi un peu trop la tâche de l'armée ukrainienne.
Au mois de mars, l'un des fleurons de la marine russe, le navire de débarquement Orsk de classe Alligator était montré, dans un reportage télévisé du journaliste Murad Gazdiev, au mouillage dans le port de la ville occupée de Berdiansk, sur la mer d'Azov.
Moins de 24 heures plus tard, la marine ukrainienne annonçait avoir coulé le bateau.

Des flammes sur l'Hồ.
Les images diffusées par Gazdiev avaient suffi à localiser l'Orsk avec précision dans le port et ainsi ajuster les tirs, pour l'envoyer par le fond.
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