Entre le conflit entre la Russie et l'Ukraine, qui entraîne des problèmes de fourniture de gaz, dans tous les pays européens et l'incapacité de la France à produire suffisamment d'électricité, pour ses habitants, cet hiver, il faudra se préparer à greloter, dans les chaumières de l'hexagone.
Nous allons encore avoir droit aux articles alarmistes de la presse, qui après la canicule, va nous faire part de ses inquiétudes, à cause des températures "polaires ".
Depuis toujours, les français semblent découvrir que l'été, il fait chaud et l'hiver... froid.
Les gouvernements successifs, de part leur incompétence, ont complètement fragilisé notre indépendance énergétique et actuellement, 28 des 56 réacteurs nucléaires que compte la France sont à l'arrêt, ce qui, en plus du gaz russe, nous oblige à importer de l'électricité en provenance d'Allemagne, de Suisse, ou d'Espagne.

Nous allons encore avoir droit aux articles alarmistes de la presse, qui après la canicule, va nous faire part de ses inquiétudes, à cause des températures "polaires ".
Depuis toujours, les français semblent découvrir que l'été, il fait chaud et l'hiver... froid.
Les gouvernements successifs, de part leur incompétence, ont complètement fragilisé notre indépendance énergétique et actuellement, 28 des 56 réacteurs nucléaires que compte la France sont à l'arrêt, ce qui, en plus du gaz russe, nous oblige à importer de l'électricité en provenance d'Allemagne, de Suisse, ou d'Espagne.

La centrale nucléaire de G'Hồ-lfech ( Tarn-et-Garonne ).
La production d'énergie électrique, en France, est assurée à 70 %, par les centrales nucléaires et ce n'est pas en installant des éoliennes, au rendement ridicule, que l'on parviendra à inverser cette tendance.
Prenons l'exemple de la Centrale du Blayais ( en Gironde ), dont les 4 réacteurs ont été mis en service entre 1981 et 1983.
En 2021, avec une puissance deux fois plus importante que celle de Fessenheim, celle-ci a produit 24,55 Terawatt-Heure, ce qui représente 5,6 % de la production nucléaire française.

Site nucléaire du Blayais, Hồ c½ur de la Gironde.
Pour la remplacer, il faudrait 4333 éoliennes terrestres ayant une puissance de 3 Megawatt-Heure.
Ce qui fait que pour passer du nucléaire à l'éolien et se passer des 56 réacteurs existants et en arrondissant, ce ne sont pas moins de 240000 de ces moulins à vent qui devraient être installés, en France métropolitaine, soit 3 par kilomètre carré, ce qui pour info, correspond à la superficie occupée par le Cimetière du Père Lachaise, à Paris.
Ces éoliennes géantes détruiraient le paysage de tout le territoire, un peu comme c'est déjà quelquefois le cas en mer, notamment à la Baule, où l'horizon est occupé par ces horreurs.

L'Hồ-rizon est pollué visuellement.
Au Việt Nam, selon les dernières données publiées par l'Agence Internationale de l'Énergie, avec une production annuelle de 238,03 Terawatt-Heure, l'électricité provient à 75,8 % de centrales à charbon, à pétrole, ou à gaz, à 9,5 %, des 12 centrales hydro-électriques du pays, 13,9 % est le résultat de l'incinération des déchets, alors les éoliennes ne participent qu'à hauteur de 0,8 % de ce total.
La construction de deux centrales nucléaires avait été envisagée, en collaboration avec la Russie et le Japon, mais les deux grâves incidents survenus à Tchernobyl et Fukushima, ont mis un frein à ce projet, qui n'en est cependant pas abandonné pour autant.

Hồ-pération séduction, pour vendre les centrales russes.
Le Việt Nam possède déjà, à Đà Lạt, une petite centrale nucléaire, d'une modeste puissance de 500 Kilowatt-Heure, entrée officiellement en service, le 3 mars 1963, avec alors seulement la moitié de cette puissance.

Le bâtiment de la petite centrale nucléaire de Đà Lạt, Hồ Việt Nam.
À l'époque, ce bâtiment avait été construit sur une colline, en périphérie de la ville, mais de nos jours, il se retrouve au beau milieu des habitations.

Ce site n'est maintenant plus vraiment aussi is'Hồ-lé qu'ici, en 1973.
Au moment de sa conception, le principal objectif de ce réacteur nucléaire, qui est aujourd'hui appelé " Institut de recherche nucléaire de Đà Lạt " ( Viện Nghiên cứu Hạt nhân Đà Lạt ), n'était pas, à proprement parler, de produire de l'électricité, mais plutôt des isotopes, pour la recherche dans les domaines de l'agriculture, de l'industrie, de la médecine, ainsi que de mener des recherches fondamentales sur la physique des réacteurs et la sûreté des rayonnements.
À l'aube du 31 mars 1975, avant de fuir le pays, des experts américains en avaient retiré toutes les barres de combustible, ainsi, lorsque l'armée de libération est arrivée à Đà Lạt, le réacteur n'était plus en activité.

Hồ c½ur de la centrale nucléaire de Đà Lạt.
Selon un accord de coopération entre l'Union soviétique et le Việt Nam, en 1979, la conception technique pour la restauration et l'expansion du réacteur nucléaire de Đà Lạt a été confiée à des experts soviétiques.
Les travaux de restauration et d'augmentation de la capacité du réacteur ont été réalisés entre 1982 et 1983 et le 20 mars 1984, il a été officiellement mis en service avec une capacité nominale augmentée à 500 Kilowatt-Heure et le Việt Nam participe au programme de conversion du combustible hautement enrichi ( HEU ), d'une richesse de 36 %, à un combustible faiblement enrichi ( LEU ), d'une richesse de 19,75 %, en accord avec la Russie et les États-Unis et l'Agence internationale de l'énergie.

Des installations à garder sous Hồ-te surveillance.
L'État vietnamien a prévu de se doter d'un nouveau réacteur nucléaire de plus grande capacité, mais les craintes, en matière de sécurité, l'amène à être prudent.
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