Une ville, c'est laid.
Mis à part quelques quartiers aménagés pour faire plaisir aux touristes et leur permettre de faire de belles photos de voyage, le reste est triste et sale.
Entre les enseignes des boutiques, les panneaux de signalisation et les déchets qui jonchent le sol, il n'y a pas vraiment de quoi se réjouir.
La pollution visuelle est, elle aussi, omniprésente, entre les tags et autres affichages illégaux, il est difficile de ne pas se sentir agressé.
Une des choses qui me choquent et commence à irriter les autorités, ce sont ces affichettes collées durant la nuit, sur tous les supports possibles, murs, lampadaires, panneaux de signalisation, voire même les façades de maison, ou celles des écoles.

Mis à part quelques quartiers aménagés pour faire plaisir aux touristes et leur permettre de faire de belles photos de voyage, le reste est triste et sale.
Entre les enseignes des boutiques, les panneaux de signalisation et les déchets qui jonchent le sol, il n'y a pas vraiment de quoi se réjouir.
La pollution visuelle est, elle aussi, omniprésente, entre les tags et autres affichages illégaux, il est difficile de ne pas se sentir agressé.
Une des choses qui me choquent et commence à irriter les autorités, ce sont ces affichettes collées durant la nuit, sur tous les supports possibles, murs, lampadaires, panneaux de signalisation, voire même les façades de maison, ou celles des écoles.

C'est donc ça, un pot'Hồ indicateur ?.. - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Parfois, certains de ces encarts pubicitaires, qui sont destinés à promouvoir toutes sortes de travaux ou prestations tarifés, peuvent entraîner des risques d'accident, notamment lorsqu'ils recouvrent les étiquettes d'avertissement, apposées sur les armoires électriques installées sur la voirie.

Les inf'Hồ sécuritaires sont recouvertes de " merdasses " - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Les moindres ruelles de quartiers sont polluées par ces autocollants, souvent installés de nuit, par des " colleurs " payés à la pièce.

Les m'Hồ-vais agissements se font toujours de nuit - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Même les " babillards ", ces panneaux d'affichage des Comités Populaires, destinés aux annonces du quartier, sont recouverts de ces saletés.

Un pann'Hồ surchargé d'âneries - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Les services de la voirie passent chaque jour un temps fou, à décoller ces papiers, qui réapparaîssent comme par magie, la nuit suivante.

Nettoyage Hồ jour le jour - Photo Journal Tuổi Trẻ.
La police a enfin décidé de mettre fin à ces pratiques et à punir sévèrement ce genre de comportement.
La population, principalement celle des propriétaires de commerces défigurés par ce phénomène, se demande comment une solution n'a pas été trouvée plus tôt, notamment en se servant du numéro de téléphone indiqué sur ces autocollants et en leur faisant payer les frais de nettoyage, en plus d'une sévère amende.

Ce n'est pas très b'Hồ, devant les boutiques - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Comme toujours, l'inefficacité et la lenteur de résolution de ce problème permettent de douter de la probité des forces de l'ordre, malgré de temps en temps, une " importante saisie ", destinée à calmer les foules.

Un peu de cin'Hồ-che - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Cette pratique risque de connaître une fin brutale, si les riverains excédés décident d'y remédier eux-mêmes.
La police pourrait bien devoir se déplacer, pour ramasser les dents cassées.
Une solution devra alors être rapidement trouvée, afin de restaurer la confiance du peuple et lui rendre sa docilité, gage de capacité à accepter et suivre la doctrine du Parti.
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