Pour voyager à travers le Việt Nam, vous avez plusieurs possibilités, l'avion, rapide et peu cher, le train, très lent mais aussi très bon marché, ou encore le bus.
Pour aller d'une ville à l'autre, il y a toujours une compagnie qui peut vous transporter, à partir et à destination des nombreuses gares routières du pays.
Dans le nord, on trouve une dizaine de transporteurs effectuant plusieurs liaisons par jour, entre Hà Nội et des villes parfois situées à plusieurs centaines de kilomètres, comme Dương Vũ, ou encore Tiến Đạt Thành et le prix d'un trajet de 10 heures, entre la capitale et Đà Nẵng, distante d'environ 700 kilomètres, est d'environ 400.000 VN Đồngs, soit 16 ¤uros.
À titre indicatif, les vols les moins chers, entre Hà Nội et Đà Nẵng, coûtent approximativement près du double, soit 780.000 VN Đồngs... mais il faut à peine une heure et demie, pour couvrir la distance.

Pour aller d'une ville à l'autre, il y a toujours une compagnie qui peut vous transporter, à partir et à destination des nombreuses gares routières du pays.
Dans le nord, on trouve une dizaine de transporteurs effectuant plusieurs liaisons par jour, entre Hà Nội et des villes parfois situées à plusieurs centaines de kilomètres, comme Dương Vũ, ou encore Tiến Đạt Thành et le prix d'un trajet de 10 heures, entre la capitale et Đà Nẵng, distante d'environ 700 kilomètres, est d'environ 400.000 VN Đồngs, soit 16 ¤uros.
À titre indicatif, les vols les moins chers, entre Hà Nội et Đà Nẵng, coûtent approximativement près du double, soit 780.000 VN Đồngs... mais il faut à peine une heure et demie, pour couvrir la distance.

Un Hồ-tocar Dương Vũ, effectuant la liaison entre Đà Nẵng et Hà Nội.
Au sud, la principale compagnie d'autocars s'appelle Phương Trang, aussi connue sous le nom de FUTA Bus Line et celle-ci dessert, plusieurs fois par jour, toutes les destinations, depuis le Delta du Mékong, jusqu'à Nha Trang, au départ de Hồ Chí Minh ville.

Quelques bus " FUTA ", Hồ c½ur de la gare routière de Cần Thơ.
Ce sont ces bus que Linh et moi empruntons régulièrement, lors de nos déplacements dans le sud du Việt Nam.
L'avantage de ce moyen de transport, c'est de voyager d'un centre ville à l'autre, contrairement aux déplacements aériens, pour lesquels, les aéroports sont souvent en périphérie.
Quand certains touristes français me demandent des renseignements, pour préparer leur itinéraire au Việt Nam, en fonction de la distance, je leur conseille donc fréquemment le bus, mais avec une précaution d'importance, ne jamais circuler de nuit.
Les grandes compagnies comme Phương Trang sont équipées de véhicules modernes et en bon état, conduits par des chauffeurs assez consciencieux et prudents, mais il ne faut pas oublier que la sieste est primordiale, dans le pays et conduire un autocar rempli de gens qui dorment, a une fâcheuse tendance à vous faire piquer du nez.
Cela arrive très régulièrement et la nuit dernière encore, à hauteur de Huế, sur la route QL 1A, un bus-couchettes qui remontait vers Hà Nội, a percuté un camion venant dans l'autre sens, faisant 2 morts et 13 blessés.

Réveil et mort vi'Hồ-lents.
Il est dommage que ce type de bus à couchettes soit maintenant majoritaire, car lorsque je me déplace, je préfère être assis et regarder le paysage qui défile et la position allongée n'est pas la plus confortable, pour nos gabarits, mais la taille de ces lits est plus adaptée aux vietnamiens, minces et souvent petits.
Lors d'une escapade à Đà Lạt, en 2015, Maman nous disait qu'elle avait l'impression de voyager dans un cercueil.

Un avant goût de cav'Hồ.
Linh s'en fiche, car comme tous ses concitoyens, elle s'endort dès les premiers tours de roues.
Moi, je ne dors jamais, dans ce type de véhicule, car j'aime regarder par la fenêtre et en cas d'accident, durant mon sommeil, je ne saurais jamais ce qui s'est passé, ce qui serait dommage.
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