Le Covid-19 a poussé certaines personnes à quitter les grandes villes vietnamiennes, pour rentrer dans leur famille, à la campagne.
C'est notamment le cas des étudiants logés en cités universitaires.
Il y a quelques mois, beaucoup d'entre-eux ont laissé leurs affaires sur place et quitté les lieux, en attendant que les établissements rouvrent et que les cours reprennent.
À leur retour, des surprises les attendaient, à l'intérieur de leur logement un temps abandonné et la nature y avait repris ses droits.
Leurs vêtements laissés dans les armoires ont subi les attaques des mites ou cafards.

C'est notamment le cas des étudiants logés en cités universitaires.
Il y a quelques mois, beaucoup d'entre-eux ont laissé leurs affaires sur place et quitté les lieux, en attendant que les établissements rouvrent et que les cours reprennent.
À leur retour, des surprises les attendaient, à l'intérieur de leur logement un temps abandonné et la nature y avait repris ses droits.
Leurs vêtements laissés dans les armoires ont subi les attaques des mites ou cafards.

Des pulls Hồ nombreux trous.
Il est notoire que les étudiants vietnamiens ne sont pas de grands adeptes de la propreté et avec leur habitude de manger sur le sol et d'y jeter leurs déchets, il n'est pas surprenant d'y trouver des grains de riz ou des pépins de fruits.
Ces locaux vides, le fort taux d'humidité ambiante et les températures élevées offrent ainsi des conditions propices à l'éclosion et au rapide développement des végétaux.
Les plantes grimpantes bloquent maintenant les volets et s'étirent vers le ciel.

Des plantes Hồ fenêtres - Photo Journal Báo Mới.
Les dalles des carrelages se sont soulevées, laissant germer et pousser des fruits, des légumes, voire même parfois des arbustes.

Un jardin d'intérieur, à d'Hồ-micile - Photo Journal Báo Mới.
Des vêtements humides abandonnés sur l'évier, dans une cuvette constituent un environnement idéal, pour la croissance des moisissures, ou des champignons.

Juste besoin d'un peu d'Hồ - Photo Journal Báo Mới.
La nature trouve toujours un moyen de reconquérir son territoire et mise à part la présence des humains, rien ne peut l'en empêcher.
Aussi fragiles qu'ils paraîssent, ces champignons ont pourtant réussi à soulever les lourdes lattes du parquet en bois, afin d'accéder à la lumière.

Hồ hisse !.. - Photo Journal Báo Mới.
Lorsque les habitants des lieux voudront cuisiner, ils n'auront même pas besoin d'aller au marché, pour y acheter des champignons.
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