La retraite, enfin, j'espère en profiter longtemps, très longtemps...

Pour évaluer la douleur ressentie, ils se basent sur l'échelle de Schmidt, créée en 1984 par un entomologiste américain appelé Justin Orvel Schmidt, professeur à l'Université de Pennsylvanie, qui répertorie la pénibilité des piqûres d'Hyménoptères.



Pour élaborer cette classification, Schmidt s'est volontairement fait piquer plus de mille fois, par toutes sortes d'insectes et il est toujours vivant, à l'heure actuelle et est âgé de 74 ans.
Le niveau de cette douleur est exprimé en 12 niveaux, celle du premier degré étant noté 1,0 et concerne une douleur légère et éphémère, comme celle causée par les petites abeilles comme les Halictidae et le niveau de souffrance le plus élevé, appelé 4,0 +, correspond à une piqure occasionnée par la fourmi Paraponera, aussi appelée " Bullet ant " ( fourmi balle de fusil ), dont la douleur est violente, intense, comme si l'on venait de recevoir une balle de fusil et peut persister jusqu'à 5 heures.



Alors que les évaluations de Schmidt ne prenaient en compte que la pénibilité des piqûres d'Hyménoptères, les deux malades de la télévision, ont élargi leur terrain d'expérimentation à d'autres types d'animaux, comme les arachnides ou les reptiles.
Entre les scorpions, les frelons géants, ou encore les centipèdes, que l'on trouve dans certaines denses forêts du Việt Nam, le choix est vaste, pour ces masochistes.



Les deux farfelus opèrent sous la surveillance permanente d'une équipe médicale qui ne parvient pas à les dissuader de se faire piquer, au risque d'en mourir.



J'ai toujours éprouvé une profonde aversion pour les insectes, alors je ne comprends pas que l'on puisse se faire mordre ou piquer volontairement.
Pas plus d'ailleurs que ce besoin de se faire connaitre en faisant des choses stupides, comme l'ont fait Johnny Knoxville, Steve-O et le reste de la bande des " Jackass ", qui se lançaient sans cesse des défis stupides, les conduisant régulièrement à l'hôpital.



Pendant que de pauvres gens qui n'ont rien demandé meurent du Covid-19, d'autres flirtent volontairement avec la mort.
Le virus devrait être plus sélectif et cibler d'abord les cons, ça assainirait enfin la planète.

À cet emplacement se tient dès 4 heures et ce pendant 2 heures, un marché spécial durant lequel on vend toutes sortes d'insectes vivants tels que sauterelles, criquets, grillons, termites ou encore des vers ou des lézards..



Cette " marchandise " périssable, qui ne se conserve en vie que pendant une durée maximale de 24 heures n'est pas destinée à servir de snacks aux entomophages vietnamiens, mais plutôt à nourrir les animaux de compagnie qui se délectent de ce genre de nourriture, tels les caméléons, les tortues, ou encore les très populaires et appréciés poissons que l'on trouve ici dans tous les bassins, les fameuses " Carpes Koï " ( Cá Koï, en vietnamien ).



Ces poissons qui peuvent atteindre une grande taille sont considérés comme un symbole de vie, de force et de longévité.
Certains exemplaires peuvent atteindre des sommes colossales.
Selon différents critères, le prix oscillera entre 50 et 1000 €uros, toutefois, quand ces poissons japonais arrivent à dépasser les 50 centimètres, ils peuvent coûter 60 000 €uros.
La " Tancho Kohaku " ( 赤と白の丹町 en japonais ),est la carpe koï la plus recherchée par les amateurs, elle est négociée entre 50 000 et 75 000 euros, à cause de ses couleurs imitant le drapeau de l'Empire du soleil levant.



Chaque année, lors des festivités du nouvel an lunaire, le " Tết Nguyên Đán ", à Sài Gòn, dans le parc Tao Đàn, se déroule un concours récompensant les plus beaux poissons.
Les sélections génétiques permettent d'obtenir des couleurs magnifiques et celui-ci, aux rayures similaires à celles du drapeau de Thaïlande, a bien mérité de remporter son prix, lors du concours de 2019.



Au Việt Nam, les gens commencent à apprécier la compagnie des animaux.
Dans les rues, les chiens sont devenus monnaie courante et beaucoup de maisons possèdent un aquarium ou un bassin.
Regarder les poissons a un effet relaxant.