La nourriture constitue le point principal d'intérêt des vietnamiens.
À toute heure de la journée, ou de la nuit, ils grignotent, mangent ou dévorent.
Il faut dire qu'ici, tout pousse à la consommation.
Les prix sont modiques et les vendeurs de rue sont si nombreux, qu'il est impossible de ne pas penser à manger ou même à boire.

À toute heure de la journée, ou de la nuit, ils grignotent, mangent ou dévorent.
Il faut dire qu'ici, tout pousse à la consommation.
Les prix sont modiques et les vendeurs de rue sont si nombreux, qu'il est impossible de ne pas penser à manger ou même à boire.

Un petit café vite fait, Hồ bord du trottoir.
Sur toutes les motos, on peut voir, accrochés au guidon, ces sacs en plastique, qui contiennent un verre de thé glacé, de café, ou encore de soupe chaude, achetés quelques minutes auparavant, au bord du trottoir.
On peut parfois oublier son casque, mais jamais sa bouffe.

Cette demoiselle porte plus d'importance à son café glacé qu'Hồ port du casque.
Ce midi, je suis descendu dans la rue, en bas de notre immeuble, pour y acheter de la " Súp Cua ", soit de la soupe de crâbe.

Une bonne soupe chaude, à emp'Hồ-rter.
Une dame est présente au bord du trottoir, devant notre supermarché, tous les matins, avec son petit stand itinérant, appelé " Xe Súp Cua ".

La carri'Hồ-le de la marchande de soupe.
Tous les employés des bureaux et commerces du quartier y achètent leur petit déjeuner, à elle comme aux autres vendeurs, ayant chacun sa spécialité.
Pour ceux qui préfèrent le " luxe ", il est également possible de manger un " Phở ", dans un établissement un peu plus grand, mais aux tarifs à peine plus élevés.

Un peu plus de conf'Hồ-rt.
Pour manger dans la rue, il faut compter entre 20000 et 35000 VN Đồngs, soit pour une somme comprise entre 0,8 et 1,4 ¤uros.
Ici, on a conscience des choses importantes de la vie et pour le prix d'un jambon beurre et d'une bouteille d'eau en France, au Việt Nam on peut manger tout un repas, au restaurant.
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