Les politiciens de tous pays, toujours en quête de nouveaux électeurs, en viennent à dépenser l'argent public à tort et à travers, généralement pour des âneries, comme Anne Hidal-g'Hồ-gol, qui veut végétaliser le périphérique parisien pour en faire une " ceinture verte " et y planter 70000 arbres, d'ici à 2030.
Avant le développement des transports urbains de Paris, en 1837, des navires propulsés par la vapeur et qui permettaient de transporter les clients d'un bout à l'autre de la capitale, en empruntant la Seine, étaient équipés de deux grandes roues à aubes.

Avant le développement des transports urbains de Paris, en 1837, des navires propulsés par la vapeur et qui permettaient de transporter les clients d'un bout à l'autre de la capitale, en empruntant la Seine, étaient équipés de deux grandes roues à aubes.

Bateaux à roues à Hồ-bes, sur la Seine, au 19 ème siècle.
En 1866, la Compagnie des Bateaux - Omnibus voit le jour.
Elle assure alors le transport fluvial de Charenton à Suresnes, avec une flotte de bateaux à hélice.

Les bat'Hồ - Omnibus à hélice.
Avec la création des premières lignes de Métro, en 1900, ce transport fluvial a alors rapidement été déserté par les voyageurs, qui lui préféraient la rapidité du réseau ferré souterrain et en 1917, ces lignes fluviales ont donc toutes été supprimées.

Le rail est plus rapide que l'Hồ.
Malgré l'évidente inutilité de ce genre de moyen de locomotion, mais complètement obnubilé par le sentiment de devoir satisfaire les élans pseudo-écologistes de certains électeurs, le 11 juillet 2007, le Syndicat des Transports d'Ile de France ( STIF ) a réitéré cette absurdité pourtant reconnue et lancé une phase d'expérimentation d'un système de navettes fluviales, sur une partie de la Seine.
Les Bato-bus étaient nés, sous le nom de Voguéo.

Répéter les stupidités, en espérant un Hồ-tre résultat.
Totalement inutile pour les parisiens, ce service fluvial ne transporte qu'une clientèle constituée essentiellement de touristes.
Les porteurs d'un titre de transport francilien y sont en effet estimés à moins de 5 % du total des voyageurs.
Au Việt Nam, l'eau est omniprésente et à certains endroits, notamment dans le Delta du Mékong, il faut parfois traverser de nombreux arroyos, pour aller travailler, faire ses courses, ou étudier.
Les élèves de cette école primaire de Cà Mau, sont chaque matin déposés directement sur la berge, à la porte de leur établissement.

Transport sc'Hồ-laire et fluvial.
Malgré la nette amélioration du réseau routier, il est parfois nécessaire de faire un détour de plusieurs kilomètres, pour se rendre sur l'autre rive, alors les gens préfèrent emprunter les traditionnels bacs, avec leurs motos.

D'une rive à l'Hồ-tre.
Les ouvriers qui travaillent au bord des rivières apprécient également de pouvoir emprunter ce mode de transport rapide et à bon marché, même les forces de police y ont recours, lors de leurs visites sur des îlots isolés.

La p'Hồ-lice fluviale.
Les bateaux qui effectuent la livraison de marchandises, entre Cao Lãnh et Sa Đéc, transportent régulièrement des passagers, notamment en périodes de crues, lorsque les routes de ce secteur sont impraticables.

Un moyen de transport adapté Hồ conditions climatiques.
Le confort n'est pas terrible, on voyage dans les odeurs d'essence, d'huile et de fumée, mais c'est une expérience qui vaut la peine d'être vécue.
C'est ça, le vrai Việt Nam.
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