En ce moment, il est difficile de parler d'autre chose que du Coronavirus.
Le bon sens et la prudence suggèrent de ne pas voyager et d'éviter les endroits trop fréquentés.
Les journaux aussi bien nationaux que locaux de toute la planète consacrent leur une à cette épidémie qui prend de plus en plus d'ampleur.

Le bon sens et la prudence suggèrent de ne pas voyager et d'éviter les endroits trop fréquentés.
Les journaux aussi bien nationaux que locaux de toute la planète consacrent leur une à cette épidémie qui prend de plus en plus d'ampleur.

À la une de tous les journ'Hồ du monde.
À cause des risques de propagation de ce virus, le commerce vietnamien est toujours en berne et comme les magasins, les lieux touristiques, les cafés et restaurants sont déserts.
Il n'y a pas que les producteurs de fruits ou de légumes, qui peinent à écouler leurs marchandises.
Les pêcheurs se trouvent hélas eux aussi dans la même situation et n'arrivent plus à vendre leur poissons ou crustacés, ce qui est normal, les restaurateurs n'achètent pas de produits frais qu'ils ne pourront pas cuisiner, faute de clients.
Dans notre rue, une femme de pêcheur est venue de Cà Mau, à l'extrême sud du Việt Nam, afin de vendre ses homards.
Les animaux sont vivants et le prix correct, 690.000 Ðồngs le kilo, soit 26-27 ¤uros.

Les beaux Hồ-mards.
Nous en prenons donc, pour le midi.

De nouvelles boucles d'Hồ-reilles pour Linh.
Nos lapins sont à la fois amusés et terrifiés par ces drôles de bestioles blindées.

Des Hồ-mards, vous dîtes que ça s'appelle ?
Après un bon repas, il en reste un peu, alors j'ai fait des bouchées à la reine... et au homard, pour demain midi.

Pour mon pr'Hồ-chain repas.
Une bonne façon de prolonger un peu le plaisir.
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