La retraite, enfin, j'espère en profiter longtemps, très longtemps...

Depuis plusieurs décennies, nos diplomates sortaient de l'ENA ( École nationale d'administration ), ou du très sélectif concours d'Orient, aussi appelé concours de secrétaire des affaires étrangères.



Ceux qui réussissent ce concours, qui a lieu tous les ans, ont alors la possibilité d'assurer, dans un pays étranger, des fonctions diplomatiques, consulaires ou de coopération.
Il est vrai que ces ambassadeurs ou consuls ne servent vraiment pas à grand chose, leur principale occupation étant de poser pour des photos, de remettre des médailles en chocolat, ou de faire une apparition lors de la garden-party des festivités du 14 juillet.
Pour les citoyens français, qu'ils soient touristes ou expatriés, les services consulaires ne sont pas d'une grande utilité, en particulier depuis que toutes leurs principales tâches sont sous-traitées à des compagnies privées, comme la délivrance de visas pour l'hexagone, assurée par TLS, ou bien les actes notariés.



Désormais, les diplomates pourront donc être d'anciens préfets, sous-préfets ou encore même des inspecteurs des finances... en bref, encore des politicards qui seront promus par copinage.
Notre consule, Madame Emmanuelle Pavillon-Grosser, qui vient d'être nommée, fin 2021, occupait le poste de Responsable du Bureau du Protocole de la Présidence de la République... on voit que ça a déjà commencé.
Quelle belle démocratie que cette France, gouvernée par des incapables, qui s'arrangent pour faire bénéficier des postes intéressants, à leurs amis.

Ces installations d'une superficie de plus de 12 hectares, se trouvent dans la province de Đắk Lắk et assurent une production d'énergie de 100 Mégawatts, ce qui permet d'alimenter environ 60 000 foyers, mais surtout également d'éviter les émissions de CO2 des centrales thermiques alimentées au charbon, encore majoritaires au Việt Nam.



L'installation d'éoliennes en mer, est également en projet.
Le pays est en pleine évolution et souvent à la pointe du progrès.
Phạm Thủy Tiên, une vietnamienne partie étudier à la " Virginia Tech University ", aux États-Unis, après avoir gagné une bourse lors d'un concours organisé par l'ambassade américaine, en Corée, pour trouver plusieurs ambassadeurs culturels de différents pays d'Asie, était surprise par la vision de son pays, qu'avaient tous les étudiant américains.



En 2007, elle devait en permanence répondre à des questions étranges, comme " Avez-vous du riz à manger au Việt Nam ? Avez-vous des téléviseurs, au Việt Nam ? Y a t'il des ordinateurs, au Việt Nam ?.. ", même lorsqu'elle répondait que dans son pays, on regarde la télévision tous les jours, certains prétendaient malgré tout que dans certains villages, il n'y a qu'un seul téléviseur partagé par la communauté.
On lui parlait aussi sans cesse de la guerre du Việt Nam, qui a pourtant pris fin, 32 ans avant son arrivée aux États-Unis.
Quelques années plus tard, après de brillantes études, Phạm Thủy Tiên s'inscrit à un concours, pour entrer dans une université des Pays-bas, elle visite ensuite de nombreux pays d'Europe, puis Bahrein et le Brésil, tout ça en tant qu'ambassadrice culturelle.
Elle pose même sur la photo officielle d'une rencontre avec le premier ministre japonais Shinzō Abe.



Sa force principale est la confiance en elle et son culot.
Pour pouvoir étudier aux Pays-bas, alors qu'elle était acceptée dans une université et n'avait pas d'argent, elle a envoyé une lettre pour les remercier de prendre en charge ses frais de scolarité... alors que ce n'était pas prévu, mais son audace a frappé les esprits et sa requête a été acceptée.
Quand on veut... on peut... parfois.