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La vie s'écoule lentement et agréablement, au pays de l'Oncle Hồ.

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4 articles taggés nucleaire

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Ap'Hồ-calypse now ?..

Le propre de l'homme est de toujours convoiter les ressources ou richesses de ses voisins.
Avec un système capitaliste qui commence à s'essoufler et atteindre ses limites, les pays les plus peuplés, ou les plus industrialisés, se dirigent vers la récession, n'ayant pas la possibilité d'augmenter leurs capacités de production.
Le monde évolue rapidement et la demande en pétrole, bien que toujours forte, risque de rapidement diminuer, avec la décision prise de cesser la fabrication de véhicules à moteur thermique.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Prochainement, des m'Hồ-tos sans vroum-vroum - Illustration " Le Repaire des Motards ".

Les pays dont l'économie dépend donc en grande partie, voire en majorité, de l'exploitation de ce carburant fossile, se doivent de trouver une alternative à ces revenus.
Poutine l'a très bien compris, la richesse principale de la Russie, ce sont des matières premières, pétrole et gaz, mais les ressources produites par le secteur de l'agriculture y sont insuffisantes, au contraire de sa voisine l'Ukraine.
Sous un fallacieux prétexte, l'invasion de ce pays a donc été décidée et les combats y font rage, sans grand succès militaire de la part des forces russes, depuis le 24 Février 2022.

Ap'Hồ-calypse now ?..
L'invasion de l'Ukraine, par les forces russes, Hồ débût de l'année 2022.

Les lourdes pertes et la démoralisation des troupes, pèsent sur le moral de la population soviétique et la décision de mobiliser 300000 civils réservistes ne passe pas, incitant même les hommes en âge d'être envoyés au front, à fuir leur pays.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Un Hồ-tre type de déplacement de russes.

La Russie est un pays dont le sous-sol est très riche, mais ses habitants, eux, ne le sont pas du tout, sauf les fameux oligarques et le régime a viscéralement besoin du nationalisme et de faire vibrer la corde de la nostalgie de sa puissance d'antan, pour tenir sur ses bases autoritaires.
Tout en annonçant cette mobilisation, dans son allocution du 21 septembre 2022, diffusée sur la chaîne gouvernementale Russia-24 ( Россия-24), Vladimir Poutine a également évoqué l'utilisation possible de l'arme nucléaire.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Un malade Hồ pouvoir - Photo Russia-24 TV.

Le problème, lorsque ce genre de fou borné est dos au mur, il n'hésite pas à tout détruire, plutôt que d'avouer sa défaîte, ce qui signifierait la fin de sa carrière politique, alors certains mouvements suspects d'armement nucléaire, ont d'ores et déjà commencé.
L'un des sous-marins porteurs de six torpilles de type Poséidon, le K-329 Belgorod, a discrètement disparu de la base de Severodvinsk, au niveau du cercle polaire.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Un gros sous-marin, en m'Hồ-de furtif.

Poséidon est une torpille de 100 mégatonnes, soit plus de 7600 fois la puissance de la bombe de 13 kilotonnes qui s'est abattue sur la ville japonaise d'Hiroshima, le 6 août 1945.
Elle est aussi connue sous le nom d'arme de l'apocalypse, capable de provoquer un tsunami allant jusqu'à 100 mètres de haut, qui pourrait détruire des ports et des villes côtières.
Les journaux occidentaux se réjouissent et annoncent le retrait des forces russes démoralisées, dans le nord de la région de Kherson.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Un peu tr'Hồ gros comme stratagème.

Pour moi, celà ressemble bien plus à un redéploiement stratégique, qu'à un retrait et l'utilisation de convois ferroviaires, plutôt que la route, indique une volonté de dégager le plus rapidement possible, la région... mais dans quel bût réel ?
Les images satellites permettent maintenant de suivre les mouvements de troupes et de matériels, à travers toute la planète et ces derniers jours, un train qui appartiendrait à la 12 ème direction principale du ministère de la Défense ( la division nucléaire secrète de Moscou ), transportant des système mobiles de lancement de missiles balistiques de type 9K720 Iskander ( " Искандер ", en russe ), d'une portée minimale de 50 kilomètres, ou maximale d'environ 500 kilomètres et pouvant se déplacer à Mach 5,9, a été repéré, dans le centre de la Russie.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Un train Hồ chargement inquiétant.

Selon les informations, ce convoi serait en route pour la frontière ukrainienne.
Si on ajoute à tout ça, les récentes incursions de bombardiers russes, au bord des frontières finlandaises, ça ne sent pas très bon.

Ap'Hồ-calypse now ?..
Le danger rôde également Hồ-dessus de nos têtes.

Heureusement pour les français, en cas d'explosion nucléaire dans cette région des pays de l'est, le nuage radioactif s'arrêterait aux frontières, comme ce fût le cas, lors de l'incident de Tchernobyl, en avril 1986.
Nos premiers de la classe n'accepteraient pas son entrée en France.
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#Posté le jeudi 06 octobre 2022 19:00

Modifié le jeudi 06 octobre 2022 23:12

Ère at'Hồ-mique.

Entre le conflit entre la Russie et l'Ukraine, qui entraîne des problèmes de fourniture de gaz, dans tous les pays européens et l'incapacité de la France à produire suffisamment d'électricité, pour ses habitants, cet hiver, il faudra se préparer à greloter, dans les chaumières de l'hexagone.
Nous allons encore avoir droit aux articles alarmistes de la presse, qui après la canicule, va nous faire part de ses inquiétudes, à cause des températures "polaires ".
Depuis toujours, les français semblent découvrir que l'été, il fait chaud et l'hiver... froid.
Les gouvernements successifs, de part leur incompétence, ont complètement fragilisé notre indépendance énergétique et actuellement, 28 des 56 réacteurs nucléaires que compte la France sont à l'arrêt, ce qui, en plus du gaz russe, nous oblige à importer de l'électricité en provenance d'Allemagne, de Suisse, ou d'Espagne.

Ère at'Hồ-mique.
La centrale nucléaire de G'Hồ-lfech ( Tarn-et-Garonne ).

La production d'énergie électrique, en France, est assurée à 70 %, par les centrales nucléaires et ce n'est pas en installant des éoliennes, au rendement ridicule, que l'on parviendra à inverser cette tendance.
Prenons l'exemple de la Centrale du Blayais ( en Gironde ), dont les 4 réacteurs ont été mis en service entre 1981 et 1983.
En 2021, avec une puissance deux fois plus importante que celle de Fessenheim, celle-ci a produit 24,55 Terawatt-Heure, ce qui représente 5,6 % de la production nucléaire française.

Ère at'Hồ-mique.
Site nucléaire du Blayais, Hồ c½ur de la Gironde.

Pour la remplacer, il faudrait 4333 éoliennes terrestres ayant une puissance de 3 Megawatt-Heure.
Ce qui fait que pour passer du nucléaire à l'éolien et se passer des 56 réacteurs existants et en arrondissant, ce ne sont pas moins de 240000 de ces moulins à vent qui devraient être installés, en France métropolitaine, soit 3 par kilomètre carré, ce qui pour info, correspond à la superficie occupée par le Cimetière du Père Lachaise, à Paris.
Ces éoliennes géantes détruiraient le paysage de tout le territoire, un peu comme c'est déjà quelquefois le cas en mer, notamment à la Baule, où l'horizon est occupé par ces horreurs.

Ère at'Hồ-mique.
L'Hồ-rizon est pollué visuellement.

Au Việt Nam, selon les dernières données publiées par l'Agence Internationale de l'Énergie, avec une production annuelle de 238,03 Terawatt-Heure, l'électricité provient à 75,8 % de centrales à charbon, à pétrole, ou à gaz, à 9,5 %, des 12 centrales hydro-électriques du pays, 13,9 % est le résultat de l'incinération des déchets, alors les éoliennes ne participent qu'à hauteur de 0,8 % de ce total.
La construction de deux centrales nucléaires avait été envisagée, en collaboration avec la Russie et le Japon, mais les deux grâves incidents survenus à Tchernobyl et Fukushima, ont mis un frein à ce projet, qui n'en est cependant pas abandonné pour autant.

Ère at'Hồ-mique.
Hồ-pération séduction, pour vendre les centrales russes.

Le Việt Nam possède déjà, à Đà Lạt, une petite centrale nucléaire, d'une modeste puissance de 500 Kilowatt-Heure, entrée officiellement en service, le 3 mars 1963, avec alors seulement la moitié de cette puissance.

Ère at'Hồ-mique.
Le bâtiment de la petite centrale nucléaire de Đà Lạt, Hồ Việt Nam.

À l'époque, ce bâtiment avait été construit sur une colline, en périphérie de la ville, mais de nos jours, il se retrouve au beau milieu des habitations.

Ère at'Hồ-mique.
Ce site n'est maintenant plus vraiment aussi is'Hồ-lé qu'ici, en 1973.

Au moment de sa conception, le principal objectif de ce réacteur nucléaire, qui est aujourd'hui appelé " Institut de recherche nucléaire de Đà Lạt " ( Viện Nghiên cứu Hạt nhân Đà Lạt ), n'était pas, à proprement parler, de produire de l'électricité, mais plutôt des isotopes, pour la recherche dans les domaines de l'agriculture, de l'industrie, de la médecine, ainsi que de mener des recherches fondamentales sur la physique des réacteurs et la sûreté des rayonnements.
À l'aube du 31 mars 1975, avant de fuir le pays, des experts américains en avaient retiré toutes les barres de combustible, ainsi, lorsque l'armée de libération est arrivée à Đà Lạt, le réacteur n'était plus en activité.

Ère at'Hồ-mique.
Hồ c½ur de la centrale nucléaire de Đà Lạt.

Selon un accord de coopération entre l'Union soviétique et le Việt Nam, en 1979, la conception technique pour la restauration et l'expansion du réacteur nucléaire de Đà Lạt a été confiée à des experts soviétiques.
Les travaux de restauration et d'augmentation de la capacité du réacteur ont été réalisés entre 1982 et 1983 et le 20 mars 1984, il a été officiellement mis en service avec une capacité nominale augmentée à 500 Kilowatt-Heure et le Việt Nam participe au programme de conversion du combustible hautement enrichi ( HEU ), d'une richesse de 36 %, à un combustible faiblement enrichi ( LEU ), d'une richesse de 19,75 %, en accord avec la Russie et les États-Unis et l'Agence internationale de l'énergie.

Ère at'Hồ-mique.
Des installations à garder sous Hồ-te surveillance.

L'État vietnamien a prévu de se doter d'un nouveau réacteur nucléaire de plus grande capacité, mais les craintes, en matière de sécurité, l'amène à être prudent.
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#Posté le samedi 10 septembre 2022 19:00

Modifié le samedi 10 septembre 2022 19:47

Sur Hồ-rbite.

On dit toujours qu'il serait bon de mettre les cons sur orbite, comme ça ils n'auraient pas fini de tourner.
Nous y sommes... presque.
Avec l'offensive engagée par la Russie, sur son voisin ukrainien, les relations diplomatiques se sont tendues et les sanctions prises à l'égard des actions de Vladimir Poutine, commencent à avoir des répercussions inattendues.
Depuis 1998, date de sa mise en service, la Station Spatiale Internationale est en orbite grâce à une collaboration entre les agences spatiales du monde entier, principalement russe et américaine.

Sur Hồ-rbite.
Pour le moment, l'ISS est encore Hồ-dessus de nos têtes.

Ce laboratoire orbital est le fruit de la collaboration de plusieurs nations qui dépendent entièrement les unes des autres.

Sur Hồ-rbite.
Chacun ses m'Hồ-rceaux du puzzle.

Le ravitaillement et le maintien en orbite de l'ensemble sont assurés par la Russie.
Pour cela, ils utilisent les cargos Progress dont un est en permanence amarré au module de service Zvezda.
Sans Progress pour la piloter, l'orbite de la Station s'abaisserait inexorablement, semaine après semaine, ce qui la rendrait incapable de corriger sa trajectoire, par exemple pour éviter des débris.
Dans le cas où les relations entre la Russie et les États-Unis atteindraient un point de non-retour, le chef de l'Agence spatiale russe Roscosmos, Dmitri Rogozine, un proche de Vladimir Poutine, a très récemment déclaré que la Russie pourrait se retirer de la Station spatiale internationale.

Sur Hồ-rbite.
Dmitri Rogozine, Hồ commandes de Roscosmos.

La menace d'une projection volontaire de la Station spatiale sur les États-Unis, n'a évidemment pas été évoquée, mais il est désormais sous-entendu que le segment russe pourrait être laissé à l'abandon, ce qui poserait de gros problêmes, quant à la viabilité de ces installations, car si le côté américain fournit l'électricité et le support de vie à l'ensemble du complexe orbital, les Russes sont responsables de la propulsion de maintien de l'ISS à une altitude d'environ 400 kilomètres et du contrôle d'attitude et des corrections de trajectoire.
La Nasa a donc décidé d'étudier des solutions de secours, au cas où les russes décideraient de l'abandonner à son sort, du jour au lendemain.

Sur Hồ-rbite.
Un cosmonaute russe rentre Hồ pays.

Dans la pire des situations, Vladimir Poutine pourrait ordonner aux cosmonautes russes de quitter l'ISS, puis d'allumer les moteurs du Progress en accélérant très fortement, pour l'amener sur une orbite aussi basse que possible jusqu'à un stade où il ne serait plus possible de la remonter, ou de générer un très fort couple de façon à la faire tournoyer sur elle-même et la rendre incontrôlable.
Dans ces deux cas de figure, la Nasa ne pourrait rien faire et la Station spatiale retomberait alors sur Terre, se désintégrant en grande partie, en entrant dans l'atmosphère.

Sur Hồ-rbite.
L'ISS en chûte libre, dans l'atm'Hồ-shère terrestre.

Cette action entraînerait immédiatement de très grâves conséquences, sur notre planète et aucun trou ne serait assez profond pour nous protéger de la pluie de missiles nucléaires que ces idiots auraient initiée.
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#Posté le mardi 08 mars 2022 18:00

Nuage radi'Hồ-actif.

Il y a quelque temps, les chinois ont illégalement commencé à occuper progressivement les archipels des îles Paracel et de Spratley, soit respectivement Hoàng Sa et Trường Sa, en vietnamien.
Ceux-ci appartiennent pourtant au Việt Nam et aux Philippines, ainsi que pour partie à la Malaisie, au Bruneï et à l'Indonésie.

Nuage radi'Hồ-actif.
Dans les Hồ territoriales du Việt Nam.

Les protestations internationales n'y ont rien changé et la Chine considère que ces terres sont les siennes.
Les importants gisements de gaz, les ressources pétrolières et la position stratégique de ces deux archipels y sont certainement pour beaucoup.
De Paris à Berlin, à travers le monde et toute l'Asie, on a pû assister à des manifestations hostiles à l'occupation illégale de ces îles.
À Sài Gòn, où les démonstrations de ce genre sont rarissimes, celles-ci étaient, pour une fois, approuvées et même encouragées, par les autorités.

Nuage radi'Hồ-actif.
Manifestations contre l'Hồ-ccupation Chinoise des îles vietnamiennes.

Les cartes géographiques chinoises ont également été modifiées, en y incluant ces territoires dérobés à leurs voisins.
Cet ajout est ici appelé " Đường lưỡi bò " ce qui signifie " Langue de b½uf ", en raison de sa forme allongée qui rappelle l'appendice buccal d'un bovin.
En 2018, certains visiteurs chinois se sont présentés au poste de l'immigration de l'aéroport de Cam Ranh, près de Nha Trang, ceux-ci portaient des tee-shirts ornés d'une carte de la Chine comportant cette " Langue de b½uf ".

Nuage radi'Hồ-actif.
Chinois, Go Hồ-me !..

Les autorités aéroportuaires leur ont intimé l'ordre de retirer ces vêtements, considérés comme une provocation, sous peine de se voir refuser l'entrée au Việt Nam et de se faire immédiatement expulser, avec interdiction d'y revenir.
Il y a fort à parier que ces gens sans aucune éducation ont été utilisés comme propagande et leur provocation a été orchestrée par des responsables locaux du Parti Communiste chinois, qui les ont " invités " à effectuer un petit voyage tous frais payés.
Depuis le débût des revendications chinoises de ces territoires, la mer de Chine méridionale est maintenant le lieu de rencontre de nombreux navires militaires de toutes origines, des français, des japonais, des philippins et bien sûr des vietnamiens.
Comme partout dans le monde, où un conflit pourrait avoir lieu, on constate également une importante présence des américains, qui ne sont pas là pour maintenir la paix, mais plutôt par intérêt pour les gisements de pétrole qui existent dans ce lieu stratégique, qui de plus est emprunté par tous les transports maritimes de marchandises en provenance de Chine.

Nuage radi'Hồ-actif.
Toujours prêts aux Hồ-stilités.

Quand il y a la possibilité de quelque chose à gratter, ils sont toujours là.
Dès le débût de ces événements en mer de Chine, plusieurs personnes vivant en France m'ont demandé si je ne craignais pas qu'un conflit armé n'éclate.
Maintenant, une potentielle guerre semble beaucoup plus probable en Europe, avec tout ce qui se passe en Ukraine, à seulement 1000 kilomètres de la frontière française la plus proche.

Nuage radi'Hồ-actif.
L'Ukraine n'est qu'à environ 1000 kilomètres de la France, à vol d'ois'Hồ.

Les agissements des russes font également peser une grande menace sur les pays d'Europe, celle de la centrale nucléaire de Tchernobyl, où un accident majeur s'est produit, le 26 avril 1986.
Les radiations mortelles, toujours très importantes, ont été contenues en construisant, en 1986, un immense sarcophage en béton, recouvrant l'intégralité du réacteur.
Depuis 2018, date de la fin des travaux, ce sarcophage a lui-même été entièrement recouvert par une grande structure métallique en forme d'arche, de 108 mètres de haut et de 162 mètres de large, pour une portée de 257 mètres, conçue pour une durée de service de cent ans et qui permettra le démantèlement de la centrale nucléaire endommagée, ce qui nécessitera plusieurs décennies.

Nuage radi'Hồ-actif.
Il n'y a pas de m'Hồ-mie, dans ce sarcophage.

Le contrôle de ce site sensible, dès le commencement des hostilités envers l'Ukraine ressemble fortement à une menace adressée aux pays membres de l'Otan, si ceux-ci tentaient de s'immiscer dans ses affaires.

Nuage radi'Hồ-actif.
Des nuages inquiétants se dessinent à l'Hồ-rizon.

En cas de destruction, volontaire ou pas, de ce sarcophage de protection, les radiations se propageraient dans les airs, en direction de l'Ouest, comme ce fût le cas en 1986.
Heureusement, à cette époque là, François Mitterrand, alors Président de la République, avait donné l'ordre aux douaniers d'arrêter le nuage radioactif, aux frontières de notre pays.
Même la presse relayait cette absurdité, en allant jusqu'à publier des cartes farfelues, sur lesquelles le parcours des retombées suivait une trajectoire complètement improbable et fantaisiste, mais en évitant scrupuleusement la France.

Nuage radi'Hồ-actif.
Le mensonge élevé Hồ rang d'art.

De nos jours, avec un gouvernement qui se proclame comme populaire et " socialiste ", à l'image de Mitterrand, ce genre de mensonge prendrait très certainement encore.
Les gens sont assez cons pour croire tout ce qu'on leur raconte.
En tous cas, les menaces de Micron ne semblent pas avoir traumatisé Poutine outre mesure.
Encore un coup d'épée en caoutchouc dans l'eau.
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#Posté le dimanche 27 février 2022 18:00

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