Le systême de collecte des déchets ménagers est une chose à améliorer, au Việt Nam.
Dans les rues d'une grande agglomération comme Hồ Chí Minh ville, les dépôts sauvages d'ordures sont hélas bien trop fréquents.
Les balayeurs de la ville, souvent des femmes, sont très mal équipés et pour nettoyer les caniveaux, doivent se frayer un chemin au milieu de la circulation et des véhicules stationnés ou autres stands de nourriture installés au bord des trottoirs.
Nombreuses sont ces travailleuses à se faire percuter par des motos.

Dans les rues d'une grande agglomération comme Hồ Chí Minh ville, les dépôts sauvages d'ordures sont hélas bien trop fréquents.
Les balayeurs de la ville, souvent des femmes, sont très mal équipés et pour nettoyer les caniveaux, doivent se frayer un chemin au milieu de la circulation et des véhicules stationnés ou autres stands de nourriture installés au bord des trottoirs.
Nombreuses sont ces travailleuses à se faire percuter par des motos.

Il faut parfois avoir des yeux dans le d'Hồ.
Une fois le nettoyage de leur secteur achevé, les employés de la voierie remplissent une vieille carriole souvent pas assez grande, avec les détritus collectés, en vue de leur ramassage par un camion.

On ajoute fréquemment des ridelles Hồ carrioles de collecte.
Le ramassage de ces ordures est rendu difficile par la configuration de certains quartiers aux rues étroites et le seul moyen de le faire est d'atteler une remorque à une vieille moto hors d'âge.

Un attelage permettant l'accès Hồ ruelles.
Les marchés disposent eux de petits camions de faible tonnage, dédiés à cette tâche.

Petit mais cost'Hồ.
Quel que soit le véhicule utilisé, la quantité d'ordures ramassées est toujours plus importante que l'espace disponible dans celui-ci.
Dans le centre historique de Sài Gòn, la présence des touristes a forcé les autorités municipales à moderniser la collecte et des poubelles modernes, en plastique, ont été fournies aux riverains.
Malgré les différentes couleurs de bacs destinés à faire du tri sélectif, tout est jeté en vrac, dans le même camion benne en piteux état.

Tri pas tr'Hồ sélectif.
Dans les quartiers périphériques, de longues files de conteneurs remplis de détritus attendent qu'un camion vienne les récupérer, à la nuit tombée, le seul moment où les poids-lourds ont le droit de circuler en ville.

En attente Hồ bord des rues.
Après leur récupération au bas des colonnes de vide-ordures et en attendant leur évacuation, les poubelles de notre immeuble sont stockées dans un local extérieur muni de portes roulantes du même style que celles des garages, derrière le bâtiment, tout d'abord pour des raisons autant esthétiques que sanitaires et afin d'éviter que des chiens errants, ou encore des récupérateurs à la recherche de quelque chose d'intéressant n'en dispersent le contenu sur le sol, durant la nuit.

Local de st'Hồ-ckage des poubelles du 70 Lữ Gia.
Les conteneurs y sont lavés tous les jours.
À certains endroits, malgré la vétusté du matériel, l'adresse internet de la compagnie est inscrite sur ses flancs.

Ceci n'est pas la poubelle de Wind'Hồ-ws.
Il serait bon d'unifier ce type de tâche et la modernisation de la collecte d'ordures permettrait d'assainir les rues des grandes villes.
Il faudrait également et principalement éduquer les gens et leur apprendre à ne plus rien jeter par terre... mais ça, c'est une tout autre histoire.
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