Depuis notre installation dans cet immeuble, en 2012, la vue depuis le balcon a considérablement changé.
Les tours poussent comme des champignons.
A cette époque et jusqu'en 2016, le quartier entourant l'ancien hippodrome de Phú Thọ était peu peuplé, mais depuis la forte augmentation des prix de l'immobilier, tout terrain constructible est mis à contribution et les immeubles fleurissent rapidement.
En 2014, l'horizon était totalement dégagé et nous avions une superbe vue sur tout Sài Gòn.
Le collège Lữ Gia, juste en bas de chez nous, venait d'être démoli et sa reconstruction allait bientôt commencer.

Les tours poussent comme des champignons.
A cette époque et jusqu'en 2016, le quartier entourant l'ancien hippodrome de Phú Thọ était peu peuplé, mais depuis la forte augmentation des prix de l'immobilier, tout terrain constructible est mis à contribution et les immeubles fleurissent rapidement.
En 2014, l'horizon était totalement dégagé et nous avions une superbe vue sur tout Sài Gòn.
Le collège Lữ Gia, juste en bas de chez nous, venait d'être démoli et sa reconstruction allait bientôt commencer.

En 2014, rien ne bouchait la vue.
Deux ans plus tard, le nouveau collège avait déjà reçu ses premiers élèves, mais hormis la présence de quelques nouvelles maisons individuelles, ou de petits immeubles de trois ou quatre étages, peu de choses avaient changé.

En 2016, le collège Lữ Gia ( coin inférieur gauche de la photo ) venait d'ouvrir.
Il suffira de peu de temps, pour que la panorama ne soit entièrement transformé.
En 2018, les nouvelles tours ont poussé, un peu partout.
Les propriétaires de ces complexes résidentiels sont en majorité des banques.

2018, urbanisation galopante.
Je crains hélas que la vue, qui m'avait décidé à opter pour cet appartement, ne soit bientôt plus qu'un souvenir.
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