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La retraite, enfin, j'espère en profiter longtemps, très longtemps...

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Al0109

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La vie s'écoule lentement et agréablement, au pays de l'Oncle Hồ.

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6 articles taggés bambou

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Se préparer Hồ retour des touristes.

La réouverture totale des frontières du Việt Nam, dans quelques jours seulement, soit le 15 mars, devrait permettre le retour des touristes.
Les entreprises qui fabriquent certains produits qui leur sont principalement destinés, sont à pied d'½uvre.
Les " Nón Lá ", ces chapeaux côniques, souvent achetés comme souvenirs, ne sont ici portés que par les travailleurs les plus modestes, dans la rue ou les champs, car ils sont peu coûteux.
Les modèles conçus pour les touristes sont plus sophistiqués, colorés, mais également beaucoup plus chers.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Du " Nón Lá " Hồ de gamme.

En ce moment, après deux années sans aucune production, pour les ouvrières qui assemblent ces couvre-chefs, le travail ne manque pas.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Retour Hồ postes de machines à coudre.

Les " Nón Lá " sont composés de feuilles séchées, provenant de palmiers, de bambou, ou d'orme.
Les baguettes et cerclages servant à concevoir la structure du chapeau sont réalisés avec de fines lamelles de bambou.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Divers éléments comp'Hồ-sant un "Nòn Là ".

Les feuilles sont cousues sur l'armature réalisée et un ruban de tissu est placé sur le rebord le plus large, pour servir de mentonnière et empêcher le couvre-chef de s'envoler avec le vent.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Les feuilles séchées sont cousues Hồ tiges de bambou de l'armature.

Une fois le " Nón Lá " assemblé, une décoration d'inspiration traditionnelle vietnamienne peut lui être ajoutée, à la main.
Ce sont généralement les modèles ornés de jeunes filles en Áo Dài, ou d'une représentation de la Baie de Hạ Long, qui sont les préférés des touristes.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Place Hồ finitions.

Ensuite, pour résister mieux aux intempéries, la surface des feuilles peut être recouverte d'une couche de vernis, qui augmente la durabilité et l'esthétique du chapeau.
Les chapeaux coniques se trouvent partout, au Việt Nam, mais il existe des lieux réputés, pour cette réalisation, comme les abords de la ville de Huế, la province de Quảng Bình, ou encore, à une vingtaine de kilomètres au sud de Hà Nội, le modeste village de Chuông, souvent qualifié de berceau du " Nón Lá ".

Se préparer Hồ retour des touristes.
Le village de Chuông, aux Hồ-rigines du " Nòn Là ".

Dans ce village, tous les habitants vivent de la confection de ces chapeaux et partout dans les rues, ou sur les places du village, on peut voir les feuilles en cours de séchage.

Se préparer Hồ retour des touristes.
Une vie Hồ rythme des chapeaux coniques.

Un marché spécialisé dans les transactions entre divers fournisseurs est installé au c½ur du village et on peut y trouver des " Nòn Là " en cours de fabrication et à chaque étape du processus, chacun peut se procurer matière à continuer le travail.
Ce marché est appelé sobrement " Chợ Nón Chuông ", le " Marché aux chapeaux de Chuông ".

Se préparer Hồ retour des touristes.
Le marché Hồ chapeaux de Chuông.

Souhaitons leur que toute cette production sera très rapidement vendue aux touristes qui sont attendus dans le pays.
Ce secteur fait vivre de nombreuses personnes, au Việt Nam, des hôteliers aux restaurateurs et tour-opérateurs, en passant par les transporteurs et guides touristiques.
Notre amie Phượng, guide francophone, a dû trouver un autre travail, depuis la fermeture des frontières et des lignes aériennes.
J'espère que sa vie normale va enfin pouvoir reprendre.
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#Posté le vendredi 11 mars 2022 18:00

D'un style à l'Hồ tre.

Les styles architecturaux du Việt Nam sont aussi variés que la diversité ethnique dont ils se nourrissent.
De nos jours, les grandes villes mêlent les styles néo-victoriens, néo-coloniaux, aux conceptions modernes qui ont redessiné le paysage urbain de certaines des plus grandes villes, en s'étirant vers le ciel.
Les tours Bitexco et Landmark 81 de Hồ Chí Minh ville sont les symboles de cette course aux sommets.

D'un style à l'Hồ tre.
Les deux plus Hồ-tes tours de Hồ Chí Minh ville ( Bitexco 262 m et Landmark 81, 461 m ).

L'architecture urbaine vietnamienne, communisme oblige, a également été influencé par le style soviétique, comme le montrent le Mausolée d'Hồ Chí Minh, à Hà Noi, ou encore l'austère bâtiment en béton de la Banque Nationale du Việt Nam, à Hồ Chí Minh ville.

D'un style à l'Hồ tre.
La banque nati'Hồ-nale du Việt Nam.

L'architecture traditionnelle vietnamienne a été profondément influencée par les cultures Chinoise au nord, Cham au centre et Khmère au sud, principalement pour les édifices religieux, pagodes ou autres temples.
La cité impériale de Huế est le parfait exemple d'un ensemble de monuments largement inspirés de l'architecture chinoise mais en conformité avec la philosophie vietnamienne ancienne.
La charmante petite ville de Hội An, constitue un exemple exceptionnellement bien préservé d'une ville portuaire commerçante à l'urbanisme largement influencé par le mélange de très nombreuses cultures indigènes et étrangères ( chinoises, japonaises et européennes ).

D'un style à l'Hồ tre.
Le célèbre pont pagode jap'Hồ-nais de Hội An.

Dans les zones rurales les plus reculées, pour construire les habitations, on utilisait les ressources naturelles et les matériaux disponibles aux alentours.
Ainsi, beaucoup de villages des montagnes étaient constitués de petites maisons en bambou et dans certaines régions pluvieuses du nord du pays, les murs étaient réalisés à partir de boue et d'un treillis de branchage, ou de lamelles de bambou, qui constituaient un torchis robuste.

D'un style à l'Hồ tre.
Un mur en t'Hồ-rchis.

Les toitures étaient faites de tuiles artisanales.

D'un style à l'Hồ tre.
Des matéri'Hồ de construction artisanaux.

Ce type d'habitation, bien qu'en voie de disparition, est toujours présent, notamment dans les zones montagneuses de la province de Lạng Sơn.

D'un style à l'Hồ tre.
L'ancien habitat côtoie le nouv'Hồ.

Les gens ont maintenant un niveau social plus élevé et ils préfèrent construire des maisons qui dureront plus longtemps et équipées du confort moderne.
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#Posté le mardi 02 novembre 2021 19:00

Modifié le mardi 02 novembre 2021 19:40

Maison Hồ-tonome.

Les paysages de rizières du delta du Mékong sont très appréciés par les touristes, mais cette région abrite également les gens les plus pauvres du pays et ceux-ci vivent souvent dans des logements précaires.
Trop éloignés des grandes villes, beaucoup d'habitants de ces cabanes en tôles ondulées ou vieilles maisons, ont un accès limité à l'électricité et sont très rarement reliés au réseau internet.

Maison Hồ-tonome.
Une maison plutôt vieill'Hồ-tte.

Afin de remédier à cette situation, Nguyễn Chí Tam, un vietnamien a créé Tama Architects, un cabinet d'architecture qui a pour spécificité de construire des bâtiments connectés à la nature, mais également des maisons vertes intelligentes, afin de répondre à la crise climatique et aux problêmes de logement au Việt Nam.

Maison Hồ-tonome.
Arrivée Hồ Cabinet Tama Architects.

L'électricité consommée par ces nouvelles habitations est produite par des panneaux solaires, installés sur le toit et les très énergivores installations de climatisation sont remplacées par des plantations et des galeries aérées qui permettent d'abaisser de façon naturelle, la température intérieure.

Maison Hồ-tonome.
Hồ frais, grâce aux plantes - Illustration Cabinet Tama Architects.

Cette compagnie a récemment mis au point l'e-Pod, une maison abordable et connectée, qui sera disponible à partir de 4500 US $ ( environ 102 millions de VN Đồngs, ou 3800 ¤uros ) et il faudra prévoir 3500 US $ ( 3000 ¤uros ), soit 80 millions de VN Đồngs supplémentaires, pour installer le systême photovoltaïque qui recycle des batteries automobiles de récupération, permettant ainsi d'abaisser les coûts et de donner la possibilité aux ménages les plus pauvres de pouvoir acquérir ce type de logement.

Maison Hồ-tonome.
Une maison moderne, sur pil'Hồ-tis - Illustration Cabinet Tama Architects.

Cet habitation se présente sous la forme d'une coque de 40 mètres carrés montée sur pilotis et est équipée de panneaux solaires installés sur le toit.
Adaptée au climat extrêmement humide de la région, dans cette maison, tout est fait pour garantir le prix le plus bas possible.
L'architecte évalue à 8000 US $ le coût total de ces habitations sûres et modernes.
L'idée est de garantir aux habitants un accès continu à l'électricité, alors l'énergie produite par les panneaux solaires prendrait le relais lors des fréquentes coupures d'électricité de cette région.

Maison Hồ-tonome.
Des pann'Hồ solaires sont installés sur le toit - Illustration Cabinet Tama Architects.

Pour ce qui est de la disposition, l'e-Pod comprend un coin bureau avec un accès wifi par satellite, un salon, une cuisine, une salle de bain et une chambre avec un lit superposé.

Maison Hồ-tonome.
Une maison Hồ top de la technique - Illustration Cabinet Tama Architects.

Nguyễn Chí Tam pense qu'un logement décent, en dur, avec de l'électricité et du Wi-Fi est la base sur laquelle une famille peut construire sa vie et le coût est une chose primordiale, pour que cela soit accessible a tous.
En cette période de Covid-19, de nombreuses écoles sont encore fermées et les enfants qui ne disposent pas d'une connexion internet, à la maison, sont malheureusement dans l'incapacité de suivre les cours à distance.
Ce visionnaire ne s'arrête pas là, il planche actuellement sur la création de maisons encore moins chères, pour un prix d'environ 4000 US $, celles-ci seraient construites en bambou et pourraient garantir un logement digne de ce nom, aux habitants les plus défavorisés vivant cette fois dans les montagnes.
Des écoles peuvent également être bâties en utilisant ce même matériau naturel et qui abonde, dans ces régions.

Maison Hồ-tonome.
Le bambou, une plante Hồ multiples utilisations - Illustration Cabinet Tama Architects.

Au Việt Nam, on a du pétrole... mais on a aussi des idées.
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#Posté le samedi 16 octobre 2021 19:00

Drôle de vél'Hồ.

Dans les ruelles étroites de certains quartiers de Hồ Chí Minh ville, placés en isolement, il est difficile de circuler et la tâche des militaires chargés de distribuer la nourriture aux riverains est fastidieuse.
Afin de les aider dans leur mission, depuis quelques jours, de nouveaux véhicules typiquement vietnamiens ont fait leur apparition.

Drôle de vél'Hồ.
De dr'Hồ-les de vélos - Photo Journal Thời Sự Toàn Cảnh.

Ces étranges bicyclettes servent généralement à transporter les munitions, sur les champs de bataille, comme c'était déjà le cas lors de la guerre, tout au long des 20000 kilomètres des pistes Hồ Chí Minh, sur lesquelles elles étaient utilisées pour ravitailler les zones de combats.

Drôle de vél'Hồ.
En 1969, sur les pistes Hồ Chí Minh - Photo site internet vtv.vn.

De nos jours, des flancs rétractables ont été rajoutés à ces deux-roues, afin de mieux supporter et équilibrer les lourdes charges transportées.

Drôle de vél'Hồ.
Un mode de transport adapté Hồ ruelles - Photo Journal Thời Sự Toàn Cảnh.

L'importante quantité de marchandises rendait totalement impossible l'accès au guidon, alors les combattants Việt Cộng avaient trouvé une astuce qui consistait à le rallonger d'un côté, en utilisant une perche de bambou.
La conception actuelle de ces bicyclettes intègre d'origine ce guidon spécifique permettant de diriger le véhicule tout en se tenant à l'arrière, ce qui est intéressant pour se faufiler dans les étroits passages qu'ici nous appelons " Hẻm ".
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#Posté le dimanche 05 septembre 2021 19:00

Comme de l'Hồ.

J'adore l'odeur de l'encens qui emplit les temples du Việt Nam.
Ces baguettes sont généralement fabriquées par des femmes, à partir d'une pâte réalisée avec de la poudre de cassie ( une fleur rare au parfum dense, comme un mimosa sauvage ) mélangée à de la sciure de bois.
Il en existe bien d'autres parfums, comme fraise, orange, ou patchouli, mais les seules baguettes utilisées dans les temples vietnamiens, sont celles à l'odeur de cassie.

Comme de l'Hồ.
Fleurs de cassie, servant à parfumer la pâte des baguettes d'encens.

Le support de la baguette est constitué d'une fine tige réalisée à partir de bambou, autour de laquelle viendra se coller la pâte combustible et odorante, par trempage.
Dans la région de Huế, ces fines tiges de bambou sont peintes de couleurs vives et sont mises à sécher, avant de recevoir la pâte d'encens.

Comme de l'Hồ.
Baguettes peintes, en cours de séchage, près du Mausolée de l'empereur Minh Mạng, à Huế.

Les divers composants de la mixture sont réduits en poudre et mélangés selon des proportions très précises.
Cette opération délicate décide de la fragrance et de la durabilité de l'encens.
Le subtil secret de de cette opération est le dosage du mélange de la pâte avec de l'eau.
Après trempage des tiges de bambou, dans le mélange parfumé, les baguettes sont à nouveau mises à sécher au soleil, afin de durcir, avant d'être emballées, pour être vendues.

Comme de l'Hồ.
Baguettes d'encens conditionnées pour la vente.

A la maison, j'en allume souvent, mais uniquement quand Linh n'est pas là, car elle n'apprécie pas vraiment ça, ici les fumées d'encens ont plutôt une relation à la mort.
Dans les temples bouddhistes, on fait brûler ces bâtons parfumés, la fumée qui monte vers les cieux est censée transporter les prières, vers les défunts.
Lors des cérémonies de funérailles, quelque soit la religion du défunt, on brûle trois baguettes d'encens, avant de les poser près de l'autel orné de la photo de la personne décédée.

Comme de l'Hồ.
Linh et ses 3 baguettes d'encens, lors des obsèques de la maman de notre amie Diệp.

Personnellement, j'aime l'odeur dégagée par la combustion de ces baguettes parfumées.
Dimanche dernier, à la foire de Phú Thọ, j'ai acheté une petite cascade à encens.

Comme de l'Hồ.
Ma cascade à encens en action.

On y fait brûler un cône parfumé, au sommet et la gravité fait descendre les fumées, en suivant les pentes de la sculpture, ressemblant à s'y méprendre à une chute d'eau animée.
Joindre une belle vue à une odeur agréable, cela permet à l'encens d'enchanter les sens.
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#Posté le jeudi 03 janvier 2019 22:09

Modifié le vendredi 04 janvier 2019 18:50

Eloignement.

Autrefois, près de chez nous, se trouvait l'hippodrome de Sài Gòn, construit entre 1930 et 1932, par les colons français.
Fin 2012, les courses de chevaux ont disparu de cet endroit historique.
Depuis peu, elles se déroulent près de Thủ Dầu Một, dans la province de Bình Dương, à environ une trentaine de kilomètres au nord de l'agglomération de Hồ Chí Minh ville.

Eloignement.
Province de Bình Dương.

A cet endroit, " Đại Nam " un gigantesque complexe, regroupant un parc d'attractions, un parc aquatique, un circuit automobile, le nouvel hippodrome et un zoo, a été créé.

Eloignement.
Site Đại Nam.

Son éloignement de la ville lui cause des désagréments et les bouchons qui se forment au retour vers Sài Gòn, ne plaident pas en sa faveur.
La faiblesse des infrastructures routières, dans ce secteur, ne favorise pas sa fréquentation .
Pour les personnes qui préfèrent les activités plus calmes ou éducatives, tout près de là, à Phú An, elles peuvent visiter le " Bamboo Village ", un musée vivant dans lequel on peut tout apprendre sur les quelques 600 variétés de bambou qui poussent au Việt Nam.
De nombreux objets, tous réalisés à partir de cette plante, sont exposés à la vue des visiteurs.

Eloignement.
Exposition au " Bamboo Village ".

Des maquettes réalisées à partir de bambou, sont également présentées, comme celle-ci, qui représente l'entrée de la cité impériale de Huế .

Eloignement.
Maquette en bambou.

Ce lieu possède également une immense salle de réception, qui peut être louée pour des célébrations, comme par exemple des mariages.

Eloignement.
Salle de réceptions.

Les visiteurs qui aspirent plutôt au calme pourront déambuler dans les agréables allées ombragées du vaste jardin agrémenté d'immenses bambous, dont la hauteur peut aller jusqu'à 30 mètres.

Eloignement.
Fraîcheur des allées ombragées.

Lors de notre visite des environs du lac Ba Bể, en 2009, Marino semblait toute petite, au pied de ces géants qui n'étaient hauts " que " d'une quinzaine de mètres.

Eloignement.
Bambous dans le parc national de Ba Bể.

La croissance très rapide de certaines espèces de bambou peut être spectaculaire, allant jusqu'à un mètre par jour.
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#Posté le samedi 28 juillet 2018 21:52

Modifié le dimanche 29 juillet 2018 05:35

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