Il y a quelque temps, les chinois ont illégalement commencé à occuper progressivement les archipels des îles Paracel et de Spratley, soit respectivement Hoàng Sa et Trường Sa, en vietnamien.
Ceux-ci appartiennent pourtant au Việt Nam et aux Philippines, ainsi que pour partie à la Malaisie, au Bruneï et à l'Indonésie.

Ceux-ci appartiennent pourtant au Việt Nam et aux Philippines, ainsi que pour partie à la Malaisie, au Bruneï et à l'Indonésie.

Dans les Hồ territoriales du Việt Nam.
Les protestations internationales n'y ont rien changé et la Chine considère que ces terres sont les siennes.
Les importants gisements de gaz, les ressources pétrolières et la position stratégique de ces deux archipels y sont certainement pour beaucoup.
De Paris à Berlin, à travers le monde et toute l'Asie, on a pû assister à des manifestations hostiles à l'occupation illégale de ces îles.
À Sài Gòn, où les démonstrations de ce genre sont rarissimes, celles-ci étaient, pour une fois, approuvées et même encouragées, par les autorités.

Manifestations contre l'Hồ-ccupation Chinoise des îles vietnamiennes.
Les cartes géographiques chinoises ont également été modifiées, en y incluant ces territoires dérobés à leurs voisins.
Cet ajout est ici appelé " Đường lưỡi bò " ce qui signifie " Langue de b½uf ", en raison de sa forme allongée qui rappelle l'appendice buccal d'un bovin.
En 2018, certains visiteurs chinois se sont présentés au poste de l'immigration de l'aéroport de Cam Ranh, près de Nha Trang, ceux-ci portaient des tee-shirts ornés d'une carte de la Chine comportant cette " Langue de b½uf ".

Chinois, Go Hồ-me !..
Les autorités aéroportuaires leur ont intimé l'ordre de retirer ces vêtements, considérés comme une provocation, sous peine de se voir refuser l'entrée au Việt Nam et de se faire immédiatement expulser, avec interdiction d'y revenir.
Il y a fort à parier que ces gens sans aucune éducation ont été utilisés comme propagande et leur provocation a été orchestrée par des responsables locaux du Parti Communiste chinois, qui les ont " invités " à effectuer un petit voyage tous frais payés.
Depuis le débût des revendications chinoises de ces territoires, la mer de Chine méridionale est maintenant le lieu de rencontre de nombreux navires militaires de toutes origines, des français, des japonais, des philippins et bien sûr des vietnamiens.
Comme partout dans le monde, où un conflit pourrait avoir lieu, on constate également une importante présence des américains, qui ne sont pas là pour maintenir la paix, mais plutôt par intérêt pour les gisements de pétrole qui existent dans ce lieu stratégique, qui de plus est emprunté par tous les transports maritimes de marchandises en provenance de Chine.

Toujours prêts aux Hồ-stilités.
Quand il y a la possibilité de quelque chose à gratter, ils sont toujours là.
Dès le débût de ces événements en mer de Chine, plusieurs personnes vivant en France m'ont demandé si je ne craignais pas qu'un conflit armé n'éclate.
Maintenant, une potentielle guerre semble beaucoup plus probable en Europe, avec tout ce qui se passe en Ukraine, à seulement 1000 kilomètres de la frontière française la plus proche.

L'Ukraine n'est qu'à environ 1000 kilomètres de la France, à vol d'ois'Hồ.
Les agissements des russes font également peser une grande menace sur les pays d'Europe, celle de la centrale nucléaire de Tchernobyl, où un accident majeur s'est produit, le 26 avril 1986.
Les radiations mortelles, toujours très importantes, ont été contenues en construisant, en 1986, un immense sarcophage en béton, recouvrant l'intégralité du réacteur.
Depuis 2018, date de la fin des travaux, ce sarcophage a lui-même été entièrement recouvert par une grande structure métallique en forme d'arche, de 108 mètres de haut et de 162 mètres de large, pour une portée de 257 mètres, conçue pour une durée de service de cent ans et qui permettra le démantèlement de la centrale nucléaire endommagée, ce qui nécessitera plusieurs décennies.

Il n'y a pas de m'Hồ-mie, dans ce sarcophage.
Le contrôle de ce site sensible, dès le commencement des hostilités envers l'Ukraine ressemble fortement à une menace adressée aux pays membres de l'Otan, si ceux-ci tentaient de s'immiscer dans ses affaires.

Des nuages inquiétants se dessinent à l'Hồ-rizon.
En cas de destruction, volontaire ou pas, de ce sarcophage de protection, les radiations se propageraient dans les airs, en direction de l'Ouest, comme ce fût le cas en 1986.
Heureusement, à cette époque là, François Mitterrand, alors Président de la République, avait donné l'ordre aux douaniers d'arrêter le nuage radioactif, aux frontières de notre pays.
Même la presse relayait cette absurdité, en allant jusqu'à publier des cartes farfelues, sur lesquelles le parcours des retombées suivait une trajectoire complètement improbable et fantaisiste, mais en évitant scrupuleusement la France.

Le mensonge élevé Hồ rang d'art.
De nos jours, avec un gouvernement qui se proclame comme populaire et " socialiste ", à l'image de Mitterrand, ce genre de mensonge prendrait très certainement encore.
Les gens sont assez cons pour croire tout ce qu'on leur raconte.
En tous cas, les menaces de Micron ne semblent pas avoir traumatisé Poutine outre mesure.
Encore un coup d'épée en caoutchouc dans l'eau.
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