Certains quartiers des villes vietnamiennes sont d'une tristesse affligeante.
Les dépôts sauvages de détritus malgré les panneaux d'interdiction et les murs décrépis rendent certaines ruelles inhospitalières.

Les dépôts sauvages de détritus malgré les panneaux d'interdiction et les murs décrépis rendent certaines ruelles inhospitalières.

Dép'Hồ d'ordures interdit " Cấm Ðổ Rác ".
Seuls les riverains osent s'aventurer dans ces lieux dégradés.
Afin de rendre ces voies plus agréables et propres, de grandes opérations de réhabilitation sont régulièrement organisées par les municipalité.
Ce fût le cas, récemment, à Cần Thơ, en ce qui concerne toutes les ruelles débouchant dans la rue Trần Quốc Toản, tout près du marché de nuit.
Après avoir débarrassé les passages de leurs monceaux de détritus, la réfection des murs a été lancée.
Pour cela, il a été fait appel à des jeunes artistes locaux, afin de réaliser des fresques représentant la ville.

Hồ delà du mur - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Certaines scènes de la vie d'antan, sont également exposées.

Un touc-touc d'Hồ-trefois - Photo Journal Tuổi Trẻ.
Ces peintures, qui s'étendent sur plus de 800 mètres, sont en majorité réalisées par des élèves des écoles d'art et sont bien plus agréables à regarder, que ces barbouillages inesthétiques qui prolifèrent au bord des routes, ou sur certaines façades.

Vraiment pas b'Hồ - Photos Journal Tuổi Trẻ.
Cette agression visuelle est encore un cadeau venu du pays de l'Uncle SAM, comme la malbouffe et la majorité des guerres de la planète.
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