Bien que le Việt Nam soit un pays communiste, chacun de ses citoyens dispose du droit à la liberté de croyance et de religion et celui-ci est respecté et protégé par l'État.
Les vietnamiens sont libres de suivre une religion ou de n'en suivre aucune et comme indiqué dans l'article 24 de la constitution de 2013, tous les cultes sont égaux, au regard de la loi.

Les vietnamiens sont libres de suivre une religion ou de n'en suivre aucune et comme indiqué dans l'article 24 de la constitution de 2013, tous les cultes sont égaux, au regard de la loi.

Le poids de la religion, Hồ Việt Nam.
La Loi sur les croyances et les religions, adoptée le 18 novembre 2016 par l'Assemblée nationale de la XIV ème législature et l'arrêté gouvernemental Numéro 162, datant de 2017, guidant son application, permettent de concrétiser ce principe fondamental.
Ce document, appelé Nghị Định - Chính Phủ 162/2017 ( abrégé en 162/2017 / NĐ-CP ) est un arrêté gouvernemental, qui sur une vingtaine de pages, répertorie les autorisations, mais aussi les obligations, relatives à l'exercice des cultes religieux.

Arrêté Gouvernemental relatif Hồ culte.
Actuellement, on estime que les Vietnamiens sont croyants à 95 %, dont plus de 24 millions d'adeptes religieux, ce qui représente 27 % de la population nationale, avec des dizaines de milliers de lieux de culte.

Quelques fidèles, Hồ sein de l'ëglise Tân Phước, près de chez nous.
Le Việt Nam compte aujourd'hui 39 organisations religieuses reconnues par l'État, dont les principales sont les différentes formes de bouddhisme et le catholicisme, surtout répandu dans le sud du pays.

Des adeptes du Bouddhisme, Hồ Việt Nam.
Les minorités ethniques possèdent leurs propres cultes et peuvent les pratiquer en toute liberté, dans des établissements dédiés.

Les rites religieux diffèrent, suivant les Hồ-rigines ethniques.
Bien sûr, ces pratiques religieuses se doivent d'être strictement en accord avec la loi et toujours en respecter les politiques juridiques, à l'inverse de la France, où les imams intégristes ( pléonasme ), placent les commandements de l'islam, au-dessus des règles de la république et ceci sans réelle réaction des pouvoirs publics.
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