Depuis la reprise du tourisme et le retour des voyageurs étrangers, on constate une forte augmentation des arnaques.
En effet, les autorités reçoivent de plus en plus de signalements de la part de guides qui déplorent le comportement de certains restaurateurs qui risquent de faire fuir les touristes, en pratiquant des prix prohibitifs.
Par exemple, à Nha Trang, un restaurant indélicat a fait payer 600000 VN Đồngs ( 12,30 ¤uros ) pour seulement trois assiettes de " Nui xào bò ", soit des nouilles sautées au b½uf.

En effet, les autorités reçoivent de plus en plus de signalements de la part de guides qui déplorent le comportement de certains restaurateurs qui risquent de faire fuir les touristes, en pratiquant des prix prohibitifs.
Par exemple, à Nha Trang, un restaurant indélicat a fait payer 600000 VN Đồngs ( 12,30 ¤uros ) pour seulement trois assiettes de " Nui xào bò ", soit des nouilles sautées au b½uf.

Une belle assiette de " Nui xào b'Hồ ".
À Hồ Chí Minh ville, pourtant l'une des villes les plus chères du Việt Nam, on peut manger ce plat dans n'importe quel restaurant, pour un prix de 25000 VN Đồngs l'assiette, soit environ 1 ¤uro.

Une carte de restaurant Hồ tarifs plus normaux.
De grosses dérives ont également été constatées dans la région de Lào Cai, où un simple bol de riz et deux assiettes de chou bouilli ont été facturés 300000 VN Đồngs ( plus de 12 ¤uros ), alors que le prix normal de ce genre de plat, considéré comme repas de pauvre, se situe autour de 15000 à 20000 VN Đồngs, soit 15 à 20 fois moins cher, sachant que le riz fait souvent partie des choses servies à volonté et gratuitement, comme le thé chaud.

Un repas de pauvre facturé Hồ prix de l'or.
À l'ère d'internet et des réseaux sociaux, les informations et mauvaises évaluations de restaurants et d'hôtels, ont vite fait de se répandre et ce genre de pratique risque de ne pas durer.
De plus, les autorités voient ces pratiques d'un très mauvais ½il et ont décidé de sévir, car celles-ci risquent de dissuader les visiteurs et de ternir la réputation du pays, alors que nous sommes dans une période de relance de l'économie touristique, fortement impactée par le Covid-19.
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