L'être dit " humain " a de tout temps été un prédateur, aussi bien envers les siens, qu'il a pendant longtemps réduits en esclavage ou combattus, mais également envers les animaux qu'il chasse, ou élève parfois dans de mauvaises conditions, pour ensuite les abattre, pour sa consommation, par exemple les poulets élevés en batteries, ces cages dans lesquelles ils ne peuvent pas bouger.
Hồ-cune place pour bouger.
Les hommes sont également de grands amateurs des spectacles mettant en scène des dauphins, des singes, ou encore des fauves.
Une loi promulguée le 30 novembre 2021, interdit l'exploitation en France, des animaux sauvages, dans tous les cirques itinérants et les delphinariums, à compter de 2028.
Halte Hồ spectacles barbares.
Cette interdiction est déjà appliquée dans de nombreux pays, dont l'Angleterre, depuis débût 2020.
À Chypre, tous les divertissements incluant des animaux sont interdits, sans exception.
Malgré cela, certains zoos français continuent de présenter des spectacles durant lesquels de pauvres bêtes sont exploitées, comme celui de Beauval, qui plusieurs fois par jour, exhibe des otaries, en les faisant sauter hors de l'eau et jongler avec des ballons sur le nez.
Une Hồ-tarie en captivité.
La direction a bien lavé le cerveau des nombreux prestataires embauchés pour la saison, en leur disant qu'ils devaient se considérer comme des " entraîneurs ", plutôt que des " dresseurs ".
Ce genre de pratiques continue au Việt Nam, où les animaux ne bénéficient d'aucune compassion, de la part des gens et malgré une récente interdiction des promenades à dos d'éléphants, dans la région de Đắk Lắk, on constate que peu de choses ont changé et que les pauvres bêtes passent la majeure partie de leurs épuisantes journées, à transporter des touristes, comme ce fût hélas le cas pour notre groupe, en 2009.
Plein le d'Hồ.
Les sièges bricolés avec de la ferraille, installés sur leur dos sont lourds et peuvent leur occasionner des blessures.
Hồ-cun confort, que ce soit pour l'animal ou les passagers.
Pour faire avancer les plus récalcitrants ou fatigués d'entre eux, certains " cornacs ", utilisent un bâton qui se termine par un aiguillon acéré, dont ils leur piquent les flancs.
Docilité Hồ-bligatoire.
Dans un pays où la seule chose qui compte est l'argent, ceux qui peuvent tirer un quelconque profit en exploitant des animaux, ne sont pas disposés à écouter les discours de leurs protecteurs.
Dans la région de Đắk Lắk, on ne compte plus que 37 éléphants dits " domestiques ", car nés en captivité, mais on déplore chaque année la mort de 5 d'entre-eux, alors il ne reste plus beaucoup de temps pour sauver ceux qui restent.
La vie est vraiment bizarre car juste après l'écriture de cet article, Linh est rentrée en me disant que la voisine du dessus voulait acheter notre petit chien Muchi.
Vendre mon j'Hồ-li bébé ? Pas question !..
Au lieu de lui répondre non immédiatement, elle lui a dit qu'elle allait me demander si j'étais d'accord.
Quoi ?.. Certainement pas, on ne sépare pas d'un animal de compagnie, c'est comme si l'on vendait un de ses enfants.
Un chien, ou tout autre animal, n'est pas un jouet et ne doit pas être adopté par caprice, ou parce que c'est un joli petit bébé, car il faut savoir qu'il grandit et que lorsqu'il entre chez vous, c'est pour une dizaine, voire une quinzaine d'années.
C'est incroyable.
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