Lorsque vous résidez dans un pays, vous devez vous soumettre à sa culture et à ses lois.
C'est ce que va rapidement apprendre un canadien installé à Thiện Nghiệp, près de Phan Thiết.
Cette région est principalement réputée pour la culture des Pitayas, ou " Fruits du dragon ", mais cet apprenti jardinier d'Amérique du nord, a décidé de se lancer dans la production de cannabis, au domicile de son épouse vietnamienne.

C'est ce que va rapidement apprendre un canadien installé à Thiện Nghiệp, près de Phan Thiết.
Cette région est principalement réputée pour la culture des Pitayas, ou " Fruits du dragon ", mais cet apprenti jardinier d'Amérique du nord, a décidé de se lancer dans la production de cannabis, au domicile de son épouse vietnamienne.

Descente de police Hồ jardin.
Celui-ci a indiqué avoir cultivé cette drogue à des fins " thérapeutiques ", comme mentionné sur un document émis par les autorités canadiennes.
Seulement, son autorisation ne permettait que la culture d'un maximum de 25 plants... pas de 476, comme ceux qui ont été découverts chez lui et surtout, cette licence n'est absolument pas valide au Việt Nam, mais uniquement au Canada.
Tout a donc été arraché et le contrevenant va devoir faire face à la justice.

De quoi se faire un gr'Hồ pétard... thérapeutique.
Son séjour au Việt Nam risque fortement de se voir remis en cause.
Dans le cas d'infraction aux lois en vigueur dans votre pays d'expatriation, les ambassades et les consulats ne sont très souvent d'aucun secours et vos agissements peuvent également faire l'objet de poursuites, lors du retour dans votre pays d'origine.
Si entre-temps, le Canada a modifié son drapeau, il se peut que son incartade soit pardonnée.

Une idée de drap'Hồ, pour le CaNNada.
Leur hymne national devrait aussi être changé, pour être totalement en accord avec la feuille de Cannabis et heureusement, celui-ci, intitulé " Hồ Canada " ( ou, en l'occurrence Hồ CaNNada ), existe déjà en version Reggae.
Si vous ne me croyez pas, cherchez donc sur Youtube : Oh Canada version Reggae - Mohanza 'Obie' Kelly et Sam Williams.
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