Quand on est con... finé, certaines sorties sont quand même indispensables.
Il faut bien manger et pour cela, les visites au supermarché s'imposent.
Bien que celles-ci soient de courte durée et malgré toutes les précautions prises, on peut quand même s'exposer au virus.
Pour s'affranchir de cette prise de risques, nous avons décidé de cultiver nos légumes... enfin un peu, car notre balcon ne nous permet pas de planter des hectares de salade ou de pommes de terre.
J'y ai donc installé deux jardinières et semé des piments et des tomates cerises.

Il faut bien manger et pour cela, les visites au supermarché s'imposent.
Bien que celles-ci soient de courte durée et malgré toutes les précautions prises, on peut quand même s'exposer au virus.
Pour s'affranchir de cette prise de risques, nous avons décidé de cultiver nos légumes... enfin un peu, car notre balcon ne nous permet pas de planter des hectares de salade ou de pommes de terre.
J'y ai donc installé deux jardinières et semé des piments et des tomates cerises.

Un petit tour Hồ jardin, face à l'hipp'Hồ-drome.
Il y a quelques semaines, Linh a planté des tomates olives et ce matin il y en a déjà une vingtaine qui ont poussé.

Virus à l'horizon, t'Hồ-mates au balcon.
Bientôt, nous pourrons les récolter, tout en profitant de la vue sur Sài Gòn.
La campagne n'est pas si loin, tout compte fait.
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