On dit toujours qu'il serait bon de mettre les cons sur orbite, comme ça ils n'auraient pas fini de tourner.
Nous y sommes... presque.
Avec l'offensive engagée par la Russie, sur son voisin ukrainien, les relations diplomatiques se sont tendues et les sanctions prises à l'égard des actions de Vladimir Poutine, commencent à avoir des répercussions inattendues.
Depuis 1998, date de sa mise en service, la Station Spatiale Internationale est en orbite grâce à une collaboration entre les agences spatiales du monde entier, principalement russe et américaine.

Nous y sommes... presque.
Avec l'offensive engagée par la Russie, sur son voisin ukrainien, les relations diplomatiques se sont tendues et les sanctions prises à l'égard des actions de Vladimir Poutine, commencent à avoir des répercussions inattendues.
Depuis 1998, date de sa mise en service, la Station Spatiale Internationale est en orbite grâce à une collaboration entre les agences spatiales du monde entier, principalement russe et américaine.

Pour le moment, l'ISS est encore Hồ-dessus de nos têtes.
Ce laboratoire orbital est le fruit de la collaboration de plusieurs nations qui dépendent entièrement les unes des autres.

Chacun ses m'Hồ-rceaux du puzzle.
Le ravitaillement et le maintien en orbite de l'ensemble sont assurés par la Russie.
Pour cela, ils utilisent les cargos Progress dont un est en permanence amarré au module de service Zvezda.
Sans Progress pour la piloter, l'orbite de la Station s'abaisserait inexorablement, semaine après semaine, ce qui la rendrait incapable de corriger sa trajectoire, par exemple pour éviter des débris.
Dans le cas où les relations entre la Russie et les États-Unis atteindraient un point de non-retour, le chef de l'Agence spatiale russe Roscosmos, Dmitri Rogozine, un proche de Vladimir Poutine, a très récemment déclaré que la Russie pourrait se retirer de la Station spatiale internationale.

Dmitri Rogozine, Hồ commandes de Roscosmos.
La menace d'une projection volontaire de la Station spatiale sur les États-Unis, n'a évidemment pas été évoquée, mais il est désormais sous-entendu que le segment russe pourrait être laissé à l'abandon, ce qui poserait de gros problêmes, quant à la viabilité de ces installations, car si le côté américain fournit l'électricité et le support de vie à l'ensemble du complexe orbital, les Russes sont responsables de la propulsion de maintien de l'ISS à une altitude d'environ 400 kilomètres et du contrôle d'attitude et des corrections de trajectoire.
La Nasa a donc décidé d'étudier des solutions de secours, au cas où les russes décideraient de l'abandonner à son sort, du jour au lendemain.

Un cosmonaute russe rentre Hồ pays.
Dans la pire des situations, Vladimir Poutine pourrait ordonner aux cosmonautes russes de quitter l'ISS, puis d'allumer les moteurs du Progress en accélérant très fortement, pour l'amener sur une orbite aussi basse que possible jusqu'à un stade où il ne serait plus possible de la remonter, ou de générer un très fort couple de façon à la faire tournoyer sur elle-même et la rendre incontrôlable.
Dans ces deux cas de figure, la Nasa ne pourrait rien faire et la Station spatiale retomberait alors sur Terre, se désintégrant en grande partie, en entrant dans l'atmosphère.

L'ISS en chûte libre, dans l'atm'Hồ-shère terrestre.
Cette action entraînerait immédiatement de très grâves conséquences, sur notre planète et aucun trou ne serait assez profond pour nous protéger de la pluie de missiles nucléaires que ces idiots auraient initiée.
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