La retraite, enfin, j'espère en profiter longtemps, très longtemps...

Les nouveaux modèles d'attestations sont à télécharger sur le site du Ministère de l'intérieur.



Pour sortir le, chien, aller acheter une baguette ou se rendre à son travail, il faut absolument être en mesure de présenter aux pandores, un document daté et signé.
En plus, maintenant, il existe le couvre-feu, qui interdit de sortir de chez soi, après 18 heures et dispose également de clauses dérogatoires concernant le travail ou des impératifs médicaux.



Au Việt Nam, la première autorisation de déplacement vient tout juste de faire son apparition, dans la ville de Hải Phòng, où plusieurs cas ont récemment été détectés.
Les rues y sont régulièrement désinfectées par l'armée.



À compter du 6 février à midi, toutes les personnes entrant ou sortant de Hải Phòng doivent être en possession d'un certificat émis par le comité populaire de la commune, du quartier ou de la ville de destination, indiquant clairement la raison du déplacement, les horaires d'entrée et de sortie et doivent impérativement répondre aux exigences de prévention Covid-19, à savoir le port du masque.



Au début de cet article, je cite les gendarmes en les affublant du sobriquet de " pandores ", mais d'où vient donc cette expression ?
Hé bien, c'est à un illustre chansonnier du 19 ème siècle, Gustave Nadaud, que nous la devons.
En effet il a pour la première fois utilisé ce surnom dans la chanson qu'il a écrite en 1857, intitulée " Les deux Gendarmes ".



Celle-ci était interprétée par le chanteur et acteur comique Pierre Levassor, qui y campait un gendarme obéissant à outrance, élevé dans la crainte de Dieu et de ses supérieurs, et incapable d'initiative ou d'idée personnelle.
Pour écouter ce chef-d'œuvre musical, vous pouvez y accéder en tapant l'adresse ci-dessous, dans votre navigateur internet.


Originaire de Roubaix et connaissant le Flamand, Nadaud se serait tout simplement inspiré du terme néerlandais “ pandoer ” désignant un gendarme, au royaume des Pays-Bas, pour baptiser son personnage.

Les gardes de la province de Lạng Sơn, à la frontière chinoise, ont intercepté un groupe composé de plusieurs vietnamiens et d'un chinois, qui tentaient de faire passer des comprimés de drogue synthétique, de la kétamine, un psychotrope surtout utilisé en médecine vétérinaire.
Pour ceux là, le virus est devenu un soucis plus que mineur.
Avec une telle quantité de produits stupéfiants saisis, leur jugement sera rapide et ils iront aussitôt rejoindre leur créateur.
Sur les réseaux " sociaux ", notamment Facebook, les pages faisant de faux appels aux dons pour lutter contre le virus se sont multipliées, forçant les forces de police à enquêter.



Les autres pays ne sont pas épargnés par les escrocs et profiteurs.
En France, de faux " désinfecteurs " se présentent au domicile des plus âgés, pour leur proposer d'assainir leur habitation et leur délivrer une fantaisiste attestation sans aucune valeur, pour le prix " dérisoire " de 5 €uros.



Ces ordures sans scrupules en profitent alors pour les dévaliser.
Même la gendarmerie est confrontée à une nouvelle arnaque.
Munis de brassards de couleur orange, de faux agents arrêtent les véhicules sur les petites routes de campagne et les verbalisent pour non respect du confinement... en liquide, bien sûr.



Il faut savoir que les brassards oranges sont réservés à la police et les contrôles de gendarmerie en civil sont très rares, surtout pour de simples contrôles routiers.
Les profiteurs sont nombreux, ils n'hésitent pas à jouer sur les peurs des gens, pour les arnaquer.
Honte à vous, ordures !