Lorsque l'on circule à moto, les gants et le casque constituent les principaux équipements de protection, en cas de chûte ou d'accident.
Alors que le port du masque contre le Covid-19 est entré dans les habitudes, celui du casque est encore problématique.
Au Việt Nam, le décret de loi 32 / 2007 / NQ-CP en date du 29 juin 2007 stipule que tous les conducteurs et passagers des motos doivent porter un casque sous peine de sanction... sauf les enfants de moins de 14 ans.
Une croyance populaire, hélas bêtement relayée par les réseaux sociaux, affirme que le port du casque est mauvais pour les vertèbres cervicales des jeunes enfants.
Sur les motos, les adultes qui emmènent leurs enfants à l'école en portent un, pas vraiment par souci de précaution, mais plutôt par peur de devoir payer une amende, mais les gosses en ont rarement.
Quand elle était petite, je refusais de démarrer si Vân ne mettait pas son casque.
Alors que le port du masque contre le Covid-19 est entré dans les habitudes, celui du casque est encore problématique.
Au Việt Nam, le décret de loi 32 / 2007 / NQ-CP en date du 29 juin 2007 stipule que tous les conducteurs et passagers des motos doivent porter un casque sous peine de sanction... sauf les enfants de moins de 14 ans.
Une croyance populaire, hélas bêtement relayée par les réseaux sociaux, affirme que le port du casque est mauvais pour les vertèbres cervicales des jeunes enfants.
Sur les motos, les adultes qui emmènent leurs enfants à l'école en portent un, pas vraiment par souci de précaution, mais plutôt par peur de devoir payer une amende, mais les gosses en ont rarement.
Quand elle était petite, je refusais de démarrer si Vân ne mettait pas son casque.
Ces deux petits n'ont Hồ-cune protection.
Les équipementiers ont pourtant fait des efforts pour inciter les enfants à réclamer de porter cet accessoire indispensable à la sécurité et ont créé des modèles spéciaux pour eux, comme celui-ci, avec des oreilles, destiné aux plus petits...
Un casque bleu à Hồ-reilles.
...ou pour ceux qui sont déjà un peu plus âgés, un casque à l'effigie de leurs héros de dessins animés préférés, comme ici Pikachu.
Un personnage de P'Hồ-kemon.
Les adultes sont également réticents au port du casque, mais la crainte de se faire verbaliser l'emporte.
Ils se permettent toutefois des libertés avec la loi, en adoptant des modèles qui ne sont pas du tout homologués et sont nombreux à circuler avec un casque de chantier, même lorsqu'ils sont à trois sur la moto.
Safety first, sur les chantiers... mais pas à mot'Hồ.
D'autres ont choisi le " casque colonial ", qui ne doit protéger que du soleil, lors des chûtes.
Comme Hồ temps des colonies.
Les canards sont exemptés... ils n'ont pas 14 ans.
Le long des trottoirs, on trouve des vendeurs de casques non homologués, à tous les coins de rue.
Prix et sécurité Hồ rabais.
Les prix, sur ces étals, s'échelonnent de 2 à 7 ¤uros ( 60000 à 200000 VN Ðồngs ), ce qui en dit long sur leur efficacité.
Pour acheter un modèle agréé, portant une étiquette ornée du logo holographique d'un organisme officiel de tests, comme celui de Qualtest 3, il faut se rendre dans une des nombreuses boutiques officielles disponibles un peu partout.
Le log'Hồ de certification.
Bien sûr, dans ces magasins, les tarifs sont nettement supérieurs, mais la sécurité et la légalité ont un prix.
Pour s'y procurer un casque homologué, de type " Jet ", la note minimum se montera à plus de 600000 VN Ðồngs, soit 3 fois plus cher que ceux qui ne protègent que de la pluie.
Sinon, vous pouvez jouer les originaux et acheter ce modèle qui était très en vogue, au temps de Blériot ou du Baron Rouge.
Même le casque de Juan Manuel Fangi'Hồ protégeait plus que ça.
En moto, le cuir c'est idéal pour les gants ou les blousons, mais pas sur la tête.
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